Zera Chimchon Paracha Hayé Sarah Eliezer gouverneur des biens d’Avraham. Darouch 8 – Michel Baruch
Zera Chimchon Hayé Sarah Eliezer
Traduit et adapté par Michel Baruch. Tous droits réservés à Michel Baruch (Beth Hamidrach de Sarcelles)
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Que le mérite du Rav vous accompagne et que vous puissiez voir
Il existe des centaines, sinon plus, de témoignages de ceux qui après avoir commencé une étude assidue de ce livre ont vu s’accomplir les promesses du Rav. Dans un monde où nombreux de nos frères sont dans l’attente d’une délivrance qui ne semble pas venir, ceux qui ne trouvent pas de conjoint, ceux qui n’ont pas d’enfants ceux qui sont souffrants, ceux qui n’ont pas de moyens de subsistance etc…
Etudiez Ce Livre Et Le Salut Vous Tombera Dessus Sans Crier Gare !
Ce livre est un ouvrage d’étude difficile d’accès pour ceux qui n’ont pas l’habitude de l’étude profonde et complexe. Avec l’aide du Seigneur Tout Puissant j’ai essayé de mettre certains passages à la portée du plus grand nombre pour que s’ouvrent à eux les portes de la délivrance !
N’hésitez-pas à donner votre avis sur ce feuillet, nous sommes à votre écoute. Est-il suffisamment clair ? Les Dérouchim sont-ils compréhensibles ? Remarques, critiques et propositions seront les bienvenues. Si vous désirez réagir : [email protected].
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RAYON-DE-VIE!
Divré Torah présentés et proposés par le tout petit : Michel Baruch.
ZERA CHIMCHONE Parachat HAYE-SARAH Darouch 8 – 5779
Zera Chimchon Hayé Sarah Eliezer gouverneur des biens d’Avraham
וְאַבְרָהָם זָקֵן בָּא בַּיָּמִים וה’ בֵּרַךְ אֶת אַבְרָהָם בַּכֹּל :וַיֹּאמֶר אַבְרָהָם אֶל עַבְדּוֹ זְקַן בֵּיתוֹ הַמֹּשֵׁל בְּכָל אֲשֶׁר לוֹ שִׂים נָא יָדְךָ, תַּחַת יְרֵכִי:
Abraham était vieux, avancé dans les jours et l’Éternel avait béni Abraham en toutes choses. Abraham dit à son serviteur l’ancien de sa maison, qui gouvernait tous ses biens: « Mets, je te prie, ta main sous ma hanche.
Le texte souligne qu’Eliezer détient le pouvoir sur les biens de son maître et qu’il est l’ancien de sa maison. Quel est l’intérêt de ces précisions et que peuvent-elles nous apprendre ? Si Avraham confie une mission à l’un de ses serviteurs celui-ci se doit de l’accomplir selon les consignes qu’il reçoit. Le fait qu’Eliezer soit le plus important des serviteurs ne change rien au fait qu’il reste juste un exécutant sans aucun pouvoir de décision.
Nous pouvons répondre à cette question par le fait qu’en général les esclaves sont considérés comme des gens peu recommandables de par les mœurs dissolues qui sont les leurs. Ils sont susceptibles de se laisser aller à toutes les transgressions si l’occasion se présente à eux. Ainsi les femmes si elles le souhaitent feront le Zimoun entres elles mais ne peuvent en aucun cas s’associer aux esclaves. Bérakhot 45b.
C’est donc pour souligner la particularité d’Eliézer et ses grandes qualités morales, qu’il est précisé ; il est l’ancien de la maison d’Avraham. Les sages iront au-delà et traduiront l’adjectif «Vieux» par savant, quel est celui qui est qualifié de vieux c’est celui qui détient la connaissance. Kidouchin 32b. Eliezer est un ancien, il est installé dans le savoir, qu’il puise aux sources de la science de son maître et en abreuve ceux qui ont soif. אליעזר זקן ויושב בישיבה היה…הוא דמשק אליעזר שדולה משקה מתורת רבו לאחרים . Yoma 28b.
La question se pose alors avec acuité, était-il autorisé à Avraham d’enseigner la Torah à son serviteur? Nos sages insistent sur le fait qu’Avraham s’est appliqué à accomplir l’ensemble des Mitsvot dans leurs moindres détails. Aurait-il oublié celui-ci, qu’il est interdit de transmettre le savoir de la Torah aux esclaves ? Rambam Avadim 8-18.
Guémara Kétoubot 28a. Parmi la liste des témoignages valides, il y a celui de l’adulte qui rapporte un fait auquel il a assisté en étant encore un enfant. Je me souviens du temps où cet homme quittait l’école pour aller se tremper au Mikwé afin de consommer de la Térouma. De cette affirmation l’homme en question sera considéré comme Cohen. Mais est-ce une preuve suffisante, voilà que les esclaves qui appartiennent au Cohen consomment aussi de la Térouma du maître ? Cet enseignement va dans le sens d’une transmission attribuée à Rabbi Yéhochou’a Ben Lévy qui affirme qu’il est absolument illicite que le maître enseigne la Torah à son esclave. Donc ici Dans le cas cité il est certain que cet homme n’est pas un esclave puisqu’il fréquentait l’école.
Cette preuve est-elle vraiment irréfutable? N’est-il pas possible qu’un esclave étudie et sache la Torah? Voici un enseignement transmit par les sages, s’il arrive que le maître nomme son esclave gérant de ses biens, ou qu’il se permette de porter les Téfilins devant son maître ou encore qu’il monte à la Torah et lise un paragraphe lors de la lecture publique de la Torah. Est-ce que ces agissements signifient que l’esclave est affranchi et qu’à présent il faut le considérer comme un juif à part entière?
Non ! Cela ne constitue en rien une garantie de son affranchissement, il est fort possible que l’esclave agit de la sorte de sa propre initiative (dans le cas des Téfilins et de la lecture).
Rachi explique ce n’est pas parce qu’il lit la Torah que nous disons que sans aucun doute le maître l’a affranchi, et que sinon il ne se serait pas permis d’agir comme un homme libre (Téfilins, lecture de la Torah). Rachi ajoute quand tout état de cause nous apprenons de là, qu’il y a des esclaves qui s’adonnent à l’étude de la Torah. Fin du texte de la Guémara.
Il ressort de cette déduction que fait Rachi, que le 1er avis rapporté dans la Guémara qui affirme que cet homme dans son enfance fréquentait l’école et que cela constitue une réelle preuve qu’il n’est pas esclave car le maître n’a pas le droit de lui enseigner la Torah. La raison pour laquelle le maître ne doit pas lui transmettre la Torah réside dans le fait que cet esclave n’étudie pas de lui-même. A cela la Guémara objecte qu’il y a des cas où nous trouvons des esclaves qui s’adonnent à l’étude de leur propre initiative.
S’il en ait ainsi pourquoi Rabbi Yéhochou’a ben Lévy se contente-t-il de dire que le maître ne doit pas lui enseigner la Torah, il fallait dire qu’il est interdit à l’esclave d’étudier. Cette formulation ayant l’avantage d’étendre l’interdit à d’autres que le maître uniquement. Car si l’interdit repose sur les épaules de l’esclave, et que chaque fois qu’il étudie il commet une transgression, aucun enseignant digne de ce nom commettrai l’impair de s’associer à cette faute.
Rabbi Yéhochou’a ben Lévy aurait dû opter pour un énoncé succinct et concis qui ne laisse place à l’exégèse et à la spéculation, il lui suffisait de dire ; il est interdit d’enseigner à l’esclave.
De sorte que s’il a choisi de préciser l’interdit uniquement du maître c’est pour en restreindre l’application au maître uniquement. Tu e n déduiras, que l’esclave qui désire s’adonner à l’étude pourra le faire en aura toute quiétude.
S’il en est ainsi ce que nous avons appris du deuxième enseignement est en fait inclus dans celui de Rabbi Yéhochou’a B-L. Alors que signifie cette formule employée par la Guémara cela confirme la transmission de Rabbi Yéhochou’a B-L? Nous sommes dans l’obligation de dire que quand la Guémara s’étonne et interroge, est-ce une preuve suffisante (le fait de fréquenter l’école)?
Nous avons vu qu’il peut se trouver des esclaves qui étudient. La raison avancée ici est que pratiquement cette possibilité n’existe qu’en théorie car dans la réalité du quotidien cet esclave ne peut trouver le temps pour étudier. Comment pourrait-il se dispenser ne serait-ce qu’un instant du joug de son maître, il doit œuvrer et produire continuellement. Devrait-on soupçonner qu’il a obtenu une dispense et un aménagement de son temps de travail? Est-ce que le maître lui aurait allégé la besogne pour lui permettre de s’instruire? Certainement pas le maître ne peut ni lui enseigner directement ni de manière détournée en permettant qu’il s’instruise par ses propres moyens. Il est à noter que dans ce cas il est admis qu’avant d’entrer au service de ce maître l’esclave était totalement ignorant et n’avait aucune connaissance ne serait-ce que de l’alphabet et de la lecture.
A cela la Guémara objecte que voilà un cas où l’esclave a lu la Torah en public? Ce qui signifie qu’il s’est adonné à l’étude comme le dit Rachi. Comment a-t-il pu y parvenir si ce n’est que le maître le lui a permis. Et la Guémara de répondre qu’il s’agit du cas où l’esclave poursuit ses études de lui-même et qu’avant d’être esclave il était un érudit.
Nous pouvons à présent revenir à notre Paracha et au cas d’Eliezer:
Voilà que lorsqu’Avraham fait jurer Eliezer il lui dit ; Je te fais jurer par l’Eternel, Seigneur des cieux et de la terre. Cependant plus loin quand il lui garantit l’aide de la Providence il lui dit, L’Eternel, Seigneur des cieux qui m’a pris de la maison de mon père ….mais il ne rajoute pas seigneur de la terre comme il le fait plus haut. Avraham veut ainsi signifier à Eliezer, que c’est seulement maintenant que l’Eternel est le Seigneur du ciel et de la terre, car il a habitué les hommes à proclamer Son Nom. Alors qu’à sa sortie de la maison de son père, Il était bien le Seigneur des cieux certes mais uniquement. Les hommes n’ayant pas encore appris à Le connaitre Son Nom n’était pas invoqué et répandu sur la terre. M R Béréchit 59.
Il est donc improbable qu’Eliezer ait appris la Torah avant d’entrer au service d’Avraham.
La question reste entière, comment Eliezer a-t-il appris la Torah? N’a-t-il pas la charge de la besogne, comment trouve-t-il le temps d’étudier? Nous sommes dans l’obligation de dire qu’Avraham l’autorise à aménager des périodes où il aura le loisir de s’adonner à ses études.
S’il en est ainsi la question se retourne vers Avraham qui n’a pas le droit ni de lui enseigner ni de le lui faciliter. Et plus encore, puisqu’Eliezer enseigne la Torah de son maître à d’autres, aurait-il pu le faire sans l’approbation d’Avraham ?
En effet le statut d’Eliezer est particulier, certes il est au service de son maître et doit œuvrer pour lui chaque instant de la journée. Cependant son travail consiste à diriger la maison et les biens d’Avraham, c’est un rôle de direction et une fonction de responsabilité. De sorte qu’il possède une certaine autonomie et peut établir son emploi du temps en fonction de son rôle de supervision des taches et des devoirs de chacun, l’essentiel étant, que la maison soit dirigée comme il se doit. Eliezer jouit ainsi d’une certaine indépendance et d’une autonomie relative. C’est là, le sens des termes dont il est qualifié, celui qui détient le pouvoir sur les biens de son maître. Les biens du maître font référence à la personne même d’Eliezer, il gouverne sa propre destinée et sa vie, à certains moments il est son propre maître.
Ces temps qu’il parvient à aménager il les emploie à l’étude c’est ainsi qu’il parvient à acquérir le savoir et la connaissance, mais pas uniquement il atteint une maitrise parfaite de la science.
(C’est là, le sens véritable du terme «Yéchiva», dont il est qualifié, un vieux, un ancien assis à la Yéchiva. Cette expression ne doit pas comprise de manière superficielle, il ne s’agit pas de dire qu’Eliezer a passé de nombreuses heures à l’étude et a acquis le SAVOIR.
Il convient de pénétrer l’enseignement de nos maîtres et d’en saisir le véritable sens, chacune de leur parole contient une profondeur et une perspective.
Le terme s’installer à l’étude ne traduit pas uniquement l’assiduité et la persévérance, la constance et l’obstination qui sont nécessaire pour «connaitre» la Torah. Mais ici il est fait mention d’une autre dimension de l’étude et des efforts qui sont essentiels et indispensables.
Il s’agit de s’installer dans le SAVOIR, de s’immerger dans la compréhension totale du sujet étudié, d’en atteindre les raisons et d’en comprendre les nuances. Cette facette de l’étude, de la véritable étude est ce qui est qualifié de «SÉVARA», la raison des choses, la logique du raisonnement. C’est là le «labeur de l’étude», l’effort à fournir pour atteindre la compréhension, c’est la peine investie pour faire jaillir la lumiére.
Celui qui s’installe dans le domaine du savoir, ne trouvera de cesse à la recherche de la connaissance que lorsqu’il aura accès à la profondeur de la raison réelle de chaque détail qu’il étudie. C’est la finesse de la nuance qui définit parfaitement le point soulevé. C’est en atteignant ce but que la connaissance est enfin «posée» et que l’étudiant peut à son tour s’y installer.
C’est là, la dimension d’Eliezer, un vieux ou un ancien c’est à dire celui qui a l’expérience du raisonnement, il est installé (assis) dans le sens d’immergé dans la compréhension réelle de ce qui est le SAVOIR établi, c’est la Yéchiva, là où la connaissance est posée. De telle sorte qu’il est lui-même le savoir, en effet la compréhension vraie et la maitrise de la chose étudiée trouve sa place et s’installe en celui qui s’y adonne. Nous comprenons alors toute la profondeur du terme «Puiser» des profondeurs du savoir et en abreuve tous ceux qui sont avides de compréhension. La Torah de son maître, signifie qu’Avraham l’a initié à cette qualité de l’étude qui fait la particularité de la Torah. C’est la lumière qui jaillit et rayonne de limpide clarté étincelante. C’est l’excellence dévoilée !)MB.
On peut aussi répondre qu’Avraham n’enseigne pas à Eliezer l’ensemble de la Torah et des Mitsvots mais uniquement le domaine qui le concerne. En effet l’esclave est soumis aux mêmes Mitsvots que les femmes, ce sont tous les commandements négatifs qu’il ne doit pas transgresser et les Mitsvots positives qui ne dépendent pas du temps. Haguiga 4a.
Au sujet de la femme il est : וכתב לה ספר כריתות. (Il s’agit d’écrire un document pour acter le divorce). Au sujet de la servante (esclave Cananéen) il est dit : וחופשה לא ניתן לה. (Elle n’a pas été affranchie) pour ces deux sujets il est employé le même terme לה de cette similitude nous apprenons que toutes les lois concernant les femmes (comme pour le divorce) s’appliqueront à l’esclave. עבד כנעני חייב במצוות כאשה מדזרה שוה לה-לה מאשה
Rav Ami dit on ne transmet pas les enseignements de la Torah à un idolâtre. Haguiga 13a. Rabbi Yohanan dit qu’un idolâtre qui étudie la Torah risque la mort (בידי השמים), toutefois en ce qui concerne les 7 Mitsvot qu’il doit pratiquer Rabbi Méir le compare à un Cohen Gadol. Sanhedrin 59 a.
C’est le sens que l’on peut donner à l’expression employée dans la Guémara, il puisait de la Torah de son maître pour en abreuver les autres. Il est dit « de la Torah de son maître » et pas toute la Torah de son maître. Cette réduction confirme qu’Eliezer ne s’adonnait qu’à la partie qui le concernait et l’enseignait aux autres esclaves. De plus le texte aurait pu se contenter de dire qu’il puisait et abreuvait les autres de Torah. Ici prend le D 8 du Zéra Chimchon H Sarah.
Il est à noter que nos sages comparent Eliezer à Avraham son maître jusqu’à leurs trouver une ressemblance physique. En effet quand Lavan sort à sa rencontre pour l’inviter à entrer dans sa demeure il lui dit : Vient toi qui es béni par le Seigneur ! Il le prend pour Avraham car Eliezer ressemble au maître à s’y méprendre. Rabbi Yossé ben R Dossa ajoute qu’Eliezer est en réalité Kénaan le fils maudit de ‘Ham, de par sa loyauté et sa fidélité à Avraham il se sort de la malédiction pour embrasser la bénédiction. Médrach R Bérechit 60-7.
Quel est le sens que nous devons donner à cette ressemblance, Lavan avait-il déjà rencontré Avraham, comment pouvait-il alors les confondre ? Il est évidemment que cette ressemblance n’est pas uniquement physique elle traduit l’ascension exceptionnel de cet homme qui adopte et intègre toutes les vertus d’Avraham jusqu’à en faire sa nature. Eliezer comme Avraham sont qualifiés de «Vieux», comme nous l’avons dit plus haut cet adjectif traduit la maitrise de la connaissance et du savoir. Ils sont tous deux la référence vivante de la science qui transforme un simple individu en un être d’exception. Bien évidemment Lavan n’a jamais rencontré Avraham mais il a entendu la grandeur du personnage et ses qualités. C’est cela qu’il aperçoit en rencontrant Eliezer, il émane de lui la sainteté.
Toutefois si nous disons qu’Eliezer n’a étudié que la Torah qui concerne les esclaves comment peut-il être comparé à Avraham et qualifié de « Vieux ». Possède-t-il tout le savoir du maître ?
Il y a une dimension particulière dans l’étude approfondie, celle qui mène à la compréhension réelle du sens et des raisons de chaque détail qui compose l’immensité de l’océan du savoir. Il s’agit du fait que chacun des petits détails, des points spécifiques étudié contient en lui l’ensemble de la Torah. Quand on étudie on s’intéresse à comprendre un détail de tel ou tel sujet. En persévérant avec assiduité on accumule le savoir, mais pas uniquement, il ne s’agit pas de posséder un savoir encyclopédique mais bien plus.
En effet le point de détail étudié profondément n’est pas juste une goutte d’eau de l’immense océan, cette « petite » goutte est elle-même l’océan infini du SAVOIR. De sorte que bien qu’Eliezer ne s’est adonné qu’à une partie de la Torah il le fait de telle façon que c’est tout le savoir qui s’ouvre devant lui. C’est cette dimension de l’étude qui est qualifiée de lumière du monde. C’est là, la démarche de celui qui a soif de comprendre, cette avidité le mènera à gravir toutes les étapes jusqu’à que s’ouvre à lui l’accès au Verger de la connaissance le fameux PARDESS. Toutes les dimensions du savoir (ד’ פשט רמז דרש סוד), toutes les facettes de compréhension (מט’ פנים טהור מט’ פנים טמא), tous les niveaux de la connaissance (ע’ פנים לתורה) sont imbriqués, unis, emboîtés les uns aux autres et illuminent de mille éclats étincelants. Heureux ceux qui ont la chance de s’adonner au savoir lumineux !
Fin du cours : Zera Chimchon Hayé Sarah Eliezer gouverneur des biens d’Avraham
באלא »וא
Traduit et adapté par le tout petit : Michel Baruch.
Poussière sur l’immense terre du Seigneur Tout Puissant !
אנא עפרא דמן ארעא ע »ה מישל דוד ברוך ס »ט
תבֺרך מפי עליון המצפה לישועה
י »ר שלא ימושו מפי ומפי כל זרעי וזרע זרעי עד בגצ »בבי.
Fasse le seigneur tout puissant nous éclairer dans sa torah, que nous disions des ‘Hidouchim innovés justes et conformes à sa volonté. que dans sa grande bienveillance il nous évite les erreurs et nous préserve des inexactitudes. que ces Divré torah soient agréables au plus grand nombre que ceux qui les liront s’en délecteront.
INFINIES BENEDICTIONS !
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דברי תורה אלו להצופ »ט בשפע רב למדב »רדק ז »ט בק’ ליחב »א בב » א וליד »בא ז »ט לדיב » חא רפואה שלמה ליהונתן אברהם בן מרים בתוך שאר ח »י אמן ואמן בילא »וא.
ברכה והצלחה בכל מילי לדר »ג’ לכ משפ’ יאב »א וכל אשר לו ימ »בא וכל אשר לו עליה בכל מעלות הת’ יד »בא יפתח ה’ לנו כל השערים להבין להשכיל ללמוד וללמד ולק ‘ יאיר לנו בתה »ק או »א.
עשה עמי אות לטובה !
ה’ הטוב יציל את ידיד נפשי מכל הרדיפות. יב »א. דיב »חא. תעא »ו !
יקום א-ל-הים יפוצו אויביו וינוסו משנאיו מפניו !
י »א י »א מו »ם . זכות הרב ז »ל יגל עליהם !
Disponible au public l’ouvrage « De la Couronne au Trône de Gloire ».
Commentaire du Sidour Téfila du Matin en coffret de trois volumes.
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Chiour Extra Court option 26 pour Zéra Chimchon option 27 pour Tommer Déborah. France 01-72-76-17-26. Israël 972-3-376-2917. Suisse 41-22-518-11-87. Angleterre 44-20-3608-1144.
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Ce vous « Zera Chimchon Paracha Hayé Sarah Eliezer gouverneur des biens d’Avraham. Darouch 8 (Ecrit) – Michel Baruch » a été mis en ligne le 30 octobre 2018 et mis à jour le 9 novembre 2020