VI Lois concernant le fait de résider dans la Soukka (23§) – Torat Hamoadim
Résider dans la Soukka
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Mitsva de résider dans la Soukka la première nuit de la fête
1) [2-ו-א] Il est interdit de prendre un repas la veille de Soukkoth à partir de trois heures proportionnelles (Zémaniyoth) avant la sortie des étoiles, afin de pouvoir consommer un Kazayth de pain (27 grammes) dans la Soukka avec appétit. Cet interdit ne s’applique que si on consomme du pain, ou des gâteaux faits à base d’une des cinq céréales, dans une quantité de Kabeitsa (56 grammes). Par contre moins que Kabeitsa (de pain ou de gâteaux) c’est permis par la Halakha, cependant il ne faut permettre cela que dans des circonstances où il y a une grande nécessité.
Il est permis, par la Halakha, de consommer des fruits et des légumes, ou un plat à base de viande ou de légumes, ou équivalent, même dans les trois heures qui précèdent la sortie des étoiles, mais à condition de veiller de ne pas se remplir la panse avec ces aliments, car alors on ne pourra pas consommer un Kazayth de pain le soir de Soukkoth avec appétit.
2) [2-ו-ב] C’est un commandement positif de la Torah que de manger un Kazayth de pain le premier soir de la fête de Soukkoth, et il faut penser, avant de consommer ce Kazayth, qu’on accomplit le commandement positif de la Torah de résider dans la Soukka, en souvenir de la sortie d’Egypte. Il est bon également de penser qu’on réside dans la Soukka en souvenir des nuées de gloires (les Ânané kavodh) dont, le Saint béni soit-Il a entouré les enfants d’Israël à leur sortie d’Egypte afin qu’ils ne soient pas frappés par la canicule et par le soleil.
3) [2-ו-ג] Il est bon d’être plus strict, a priori, et ne pas faire le Quiddoush sur un verre de vin le soir de Soukkoth avant la sortie des étoiles, c’est-à-dire environ un quart d’heure après le coucher du soleil (en Israël, en France voir calendrier). Quoi qu’il en soit, le Kazayth de pain que nous consommons dans la Soukka doit être consommé après la sortie des étoiles. Il est bon d’être strict et de consommer (un Kazayth de pain) après une et quart après le coucher du soleil.
4) [2-ו-ד] Pour le Quiddoush du soir de Soukkoth après la bénédiction sur le vin (Boré Péri Hagguéfen) et la seconde bénédiction (Asher Ba’har banou mikkol Âm) on fait la bénédiction sur le fait de résider dans la Soukka (Léshev Basoukka) puis on s’assoie et enfin on fait la bénédiction Shéhé’héyanou, puis on boit un réviîth de vin et si on ne peut pas prendre cette quantité alors on prend la quantité « mélo logmav » du verre qui est la majorité d’un réviîth chez un homme moyen (soit 44 millilitres).
Il est bon que les femmes ne répondent pas Amen à la bénédiction « Léshev Basoukka » [pour ne pas faire interruption]. Après le Quiddoush, lorsqu’on se lave les mains et qu’on fait la bénédiction sur le pain (Hammotsi) on ne refait pas la bénédiction « Léshev Basoukka ».
5) [2-ו-ה] La quantité « Kazayt » de pain, que l’on mange dans la Soukka le premier soir de Soukkoth, est environ 30 grammes en volume (30 centimètres cubes). Il est bon d’être plus strict et de prendre un poids de 30 grammes, afin du sortir du doute.
Il faut consommer ce Kazayt sans s’interrompre ni attendre et terminer le Kazayt dans un temps inférieur à « Akhilath Péras » c’est-à-dire moins de 7 minutes et demi. A priori il faut être plus strict et terminer la consommation du Kazayt en moins de 4 minutes.
Il est permis, d’après la Halakha, de manger le pain accompagné [d’accompagnements constitués] de salades ou de poisson ou de le tremper dans de la sauce. Malgré tout, il est bon d’être strict et de manger ce pain sans le tremper du tout dans quoi que ce soit
S’il pleut pendant la fête de Soukkot
6) [2-ו-ו] S’il pleut pendant la fête de Soukkot à tel point qu’un plat puisse se détériorer pour la consommation de ce fait (et même un plat de gruaux qui s’abime rapidement du fait de l’eau), dans le Minhagh Séfarade et des juifs orientaux qui suivent les enseignement de Maran (Rabbi Yossef Qaro), même si ce fait (cette pluie) se produit le premier soir de la fête de Soukkot, on est exempt de la Soukka et on mangera alors le repas du soir chez soi.
Malgré tout, si on voit qu’il va s’arrêter rapidement de pleuvoir, il est bon d’attendre un peu et de manger un Kazayt de pain dans la Soukka, afin d’accomplir la Mitsva de la Torah. Par contre, si on voit que si on attend on aura besoin d’attendre longtemps, il ne faudra pas attendre du tout et il ne faudra pas annuler la Mitsva de se réjouir un soir de fête.
Dans le Minhag Ashkénaze, le premier soir de Soukkot, il faut manger dans la Soukka même lorsque la pluie tombe.
S’il s’arrête de pleuvoir après avoir fini de dîner et qu’on a (déjà) fait les actions de grâce après le repas (Birkath Hammazon) :
- si c’est avant minuit, il faudra se laver les mains et rentrer dans la Soukka et faire la bénédiction « Léshev Basoukka » et manger un Kazayth de pain.
- si c’est après minuit, il ne faudra pas faire la bénédiction « Léshev Basoukka », sauf si on consomme plus que Kabeitsa de pain (plus de 60 grammes).
Toute personne qui est exemptée de manger dans la Soukka du fait de la pluie n’a pas le droit d’être plus « strict », et s’il est plus « strict » il est alors inclus dans les propos des Sages « toute personne exempte d’une chose et la fait est appelé un «simplet ».
7) [2-ו-ז] Si quelqu’un a oublié « Yaâlé Véyavo » « que monte, parvienne » pendant les actions de grâce après le repas du premier soir de Soukkoth :
- s’il s’en souvient après avoir dit ברוך אתה ה » « Baroukh Attaa », mais avant d’avoir conclu la bénédiction (par) בונה ירושלים alors il dira למדני חקיך (il aura donc dit un verset des psaumes Ch. 119) et reprendra יעלה ויבוא.
- s’il a déjà dit בונה ירושלים et se rend compte ensuite de son erreur, alors il dira la bénédiction (avec le nom de D.ieu) :
בָּרוּךְ אַתָּה ה », אֱלֹקינוּ מֶלֶךְ הָעוֹלָם, אשר נָּתַן ימים טובים לְעַמּוֹ יִשְׂרָאֵל לששון ולשמחה את יום חג הסכות הזה את יום טוב מקרא קודש הזה בָּרוּךְ אַתָּה ה », מְקַדֵּשׁ יִשְׂרָאֵל וְהזמנים
- s’il se rend compte de son oubli alors qu’il a commencé la 4ème bénédiction et a dit בָּרוּךְ אַתָּה ה », אֱלֹקינוּ מֶלֶךְ הָעוֹלָם (sans plus), alors il continue et finit par, אשר נָּתַן ימים טובים לְעַמּוֹ יִשְׂרָאֵל לששון ולשמחה את יום חג הסכות הזה את יום טוב מקרא קודש הזה בָּרוּךְ אַתָּה ה », מְקַדֵּשׁ וְיִשְׂרָאֵל וְהזמנים
- par contre s’il s’en souvient après avoir dit לעד האל אבינו מלכנו, et ne serait-ce qu’après avoir dit לעד alors il recommencera depuis le début des actions de grâce.
8) [2-ו-ח] Ce qui a été vu à l’alinéa précédent ne concerne que le premier soir de Soukkoth, pendant lequel manger un Kazayth de pain est une obligation (une Mitsva de la Torah) et dans un tel cas, où le fait de consommer du pain est une obligation, alors si on oublie de mentionner le jour dans les actions de grâce (dans le Yaâlé Véyavo) il faut reprendre au début.
Par contre s’il advient qu’on oublie de dire « Yaâlé Véyavo » dans les actions de grâce après le repas, lors du repas de midi de la fête ou pendant Shémini Atséreth, si la personne s’en rend compte avant de débuter la quatrième bénédiction alors son statut est le même que celui de quelqu’un qui a oublié de dire les actions de grâce après le repas du premier soir de la fête de Soukkoth ;
- par contre, s’il s’en souvient après avoir dit לעד האל אבינו מלכנו, et ne serait-ce qu’après avoir dit לעד alors il ne recommencera pas du tout et poursuivra les actions de grâce dans l’ordre habituel.
S’il s’avère que quelqu’un a oublié de dire « Yaâlé Véyavo » pendant les actions de grâce après un des repas pendant ‘Hol Hamoêd (demi-fête), alors que, si on le désire, on ne mange pas de pain du tout et qu’il s’en rend compte après avoir dit ברוך אתה ה » mais avant d’avoir conclu la bénédiction (par) בונה ירושלים alors il dira בונה ירושלים puis fera la bénédiction, sans dire ne nom divin :
בָּרוּךְ שנָּתַן מועדים טובים לְעַמּוֹ יִשְׂרָאֵל לששון ולשמחה את יום חג הסכות הזה את יום מקרא קודש הזה בָּרוּךְ מְקַדֵּשׁ ְיִשְׂרָאֵל וְהזמנים
S’il s’en rend compte après avoir fini la bénédiction בונה ירושלים et a déjà commencé la quatrième bénédiction et a dit בָּרוּךְ אַתָּה ה », alors il poursuit sans reprendre du tout.
Résider dans la Soukka les autres jours de la fête
9) [2-ו-ט] Comment accomplir la Mitsva de résider dans la Soukka pendant les sept jours de la fête (8 en dehors d’Israël) ? On mange, on boit, on dort et on se « promène » et on habite dans la Soukka pendant tous les sept jours, que ce soit le jour ou que ce soit la nuit, de la même manière que l’on réside chez soi tout le reste de l’année. Pendant les sept jours de la fête on fait de sa maison une demeure secondaire et de la Soukka une demeure fixe (principale).
Comment réaliser cela ? Les beaux « ustensiles » et le beau linge de maison (nappes, serviettes …) sont dans la Soukka, les verres et les bougeoirs sont dans la Soukka.
On lit et on étudie la Torah dans la Soukka, cependant si quelqu’un préfère étudier dans la pièce où se trouvent les livres, chez lui, comme par exemple s’il utilise et approfondit avec de nombreux livres au moment où il étudie, il a le droit d’étudier chez lui.
On ne lave pas la vaisselle, et de même on ne fait pas d’autres occupations dévalorisantes dans la Soukka. Il est certain que chacun doit veiller à ne pas parler de futilités, et veiller à ne pas en venir à des effronteries ou de la médisance ni du colportage lorsqu’on est dans la Soukka. Ces choses là sont interdites tout au long de l’année (quel que soit le jour), à plus force raison sont-elles interdites lorsqu’on se trouve dans la Soukka.
10) [2-ו-י] Il est permis de consommer une « collation» (un repas non « fixe ») en dehors de la Soukka, cependant il est interdit de dormir, même une petite sieste en dehors de la Soukka si ce n’est pour quelqu’un de fragile et qui a peur de prendre froid ou de tomber malade s’il dort dans la Soukka, qui est alors exempté de dormir dans la Soukka, car celui qui souffre est exempté de la Soukka.
11) [2-ו-יא] Qu’appelle-t-on « collation» (repas non fixe) qui est exemptée de la Soukka (qu’on peut consommer en dehors de la Soukka) ? Si on mange moins de Kabeitsa de pain ou de gâteaux (c’est-à-dire environ 54 grammes en volume), on est exempté de Soukka. Par contre, si on mange plus que Kabeitsa de pain ou de gâteaux (c’est-à-dire 55 grammes et plus) on est tenu de les manger dans la Soukka.
Cependant on ne fait la bénédiction « Léshev Basoukka » que sur du pain. Par contre, sur des gâteaux on ne fait pas cette bénédiction même si on en a consommé plus de Kabeitsa, sauf si on a mangé une quantité qui est celle d’un repas fixe, c’est-à-dire 230 grammes et dans un tel cas, on se lave les mains on fait la bénédiction Hammotsi et on fait la bénédiction « Léshev Basoukka ». Après cette consommation on fait les actions de grâce après le repas.
Il est bon que lorsqu’on fait la bénédiction « Léshev Basoukka » lorsqu’on consomme du pain, on prenne 60 gramme (et plus)
12) [2-ו-יב] Celui qui consomme un plat à base des cinq céréales comme des pâtes ou équivalent, s’il en consomme plus de Kabeitsa, il est obligé de le consommer dans la Soukka, et il ne fera pas la bénédiction « Léshev Basoukka ». S’il consomme comme la quantité nécessaire pour que le repas soit considéré comme « fixe » c’est-à-dire 230 grammes et plus, alors il devra faire la bénédiction « Léshev Basoukka » (cependant il n’est pas nécessaire de se laver les mains et il ne fera pas la bénédiction « Hammotsi Lé’hem Min Haaretz » mais fera la bénédiction « Mézonoth » car ce plat n’a pas l’aspect du pain).
13) [2-ו-יג] Celui qui mange un plat de riz ou de légumes ou de viande ou de poisson ou toute autre sorte d’aliment n’a pas besoin, d’après la Halakha, de les manger dans la Soukka, même s’il en mange en grande quantité ; de même pour celui qui consomme des fruits, même des sept sortes (de la terre d’Israël), il n’a pas besoin par la Halakha de les manger dans la Soukka.
De même, celui qui boit, que ce soit une boisson alcoolisée comme du vin ou de la bière ou toute autre boisson forte, ou bien une boisson non-alcoolisée comme du café, du thé, du lait ou toute autre boisson légère n’a pas besoin, par la loi, de les boire dans la Soukka.
Dans tous ces cas, si quelqu’un veut être plus strict et consommer (un aliment qu’il n’est pas obligé de consommer dans la Soukka) dans une Soukka, il n’aura pas le droit de faire la bénédiction « Léshev Basoukka », dans le Minhag des Séfaradim est des juifs orientaux.
Même celui qui prend un réviîth de vin pour la Havdala n’est pas obligé de boire le vin dans la Soukka et ne fait (donc) pas la bénédiction « Léshev Basoukka ».
Celui qui est plus strict et ne mange rien ni ne boit rien en dehors de la Soukka, qu’il reçoive la bénédiction.
14) [2-ו-יד] Bien que d’après la loi on peut manger une « collation » en dehors de la Soukka (comme défini aux paragraphes précédents), lorsqu’on est au milieu du repas (dans la Soukka) il est interdit de consommer un aliment quelconque et de boire une boisson quelconque, y compris de l’eau, en dehors de la Soukka.
15) [2-ו-טו] Lorsqu’on fait la bénédiction « Léshev Basoukka », quand on prend un repas dans la Soukka, il est préférable de faire d’abord la bénédiction « Léshev Basoukka » et ensuite la bénédiction « Hammotsi » (sur le pain). Certains ont l’habitude de faire d’abord Hammotsi et ensuite font la bénédiction « Léshev Basoukka » ; chaque endroit fera selon son habitude.
Si on a oublié de faire la bénédiction « Léshev Basoukka » au début du repas, on a le droit de faire cette bénédiction tant qu’on n’a pas terminé le repas. Même si on a terminé de consommer du pain, tant qu’on mange ou qu’on boit (encore) on a le droit de faire la bénédiction « Léshev Basoukka ».
16) [2-ו-טז] Celui qui rend visite à un proche qui est dans sa Soukka pendant la fête de Soukkoth n’a pas le droit de faire la bénédiction « Léshev Basoukka » dans le Minhagh des Séfaradim et des juifs orientaux sauf s’il mange dans la Soukka un repas avec plus d’un Kabeitsa de pain ou s’il consomme la quantité de gâteaux pour prendre un repas fixe, comme vu précédemment.
17) [2-ו-יז] Les femmes sont exemptées de la Mitsva de la Soukka ; si elles désirent être plus strictes avec elles-mêmes et manger dans la Soukka quelles reçoivent la bénédiction. Cependant, elles n’ont pas le droit de faire la bénédiction « Léshev Basoukka » en prononçant le nom de D.ieu, même si elles consomment plus de la quantité nécessaire pour faire un « repas fixe ».
18) [2-ו-יח] C’est une Mitsva d’éduquer les enfants petits à manger dans la Soukka et de leur apprendre à faire la bénédiction en prononçant le nom de D.ieu.
19) [2-ו-יט] Ceux qui sortent faire des ballades pendant la fête de Soukkot ne sont pas exemptés de la Mitsva de la Soukka et n’ont pas le droit de prendre un repas « fixe » en dehors de la Soukka car ils ne font pas partie des « personnes qui voyagent » qui elles sont exemptées de la Mitsva de Soukka.
20) [2-ו-כ] Il est bon et convenable que chaque homme sanctifie son temps pendant les demi-fêtes [‘hol hamoêd] pour étudier la Torah, comme le disent les Sages dans le Talmoud de Jérusalem « le travail n’a été interdit pendant les demi-fêtes qu’afin qu’on puisse manger, boire et s’adonner à l’étude de la Torah ».
21) [2-ו-כא] C’est une Mitsva d’honorer les jours de demi-fête en mangeant de la viande et en prenant du vin, et de réjouir les femmes avec des vêtements de couleur et des bijoux. Il est bon d’être strict et de manger du pain lors des repas de midi et du soir pendant les demi-fêtes.
22) [2-ו-כב] Bien qu’il y ait une Mitsva de se réjouir pendant les fêtes (quelle que soit la fête), pendant la fête de Soukkoth il y avait au Beth Hamiqdash (Temple de Jérusalem) une joie encore plus intense, comme il est écrit dans la Torah (Lévitique Ch. 23 v. 40) :
וּשְׂמַחְתֶּם, לִפְנֵי ה » אֱלֹקיכֶם –שִׁבְעַת יָמִים.
et vous vous réjouirez, en présence de l’Éternel votre Dieu, pendant sept jours.
Ils avaient cette joie au moment où ils allaient puiser de l’eau pour les besoins de la Mitsva des libations de l’eau sur l’autel (dans le Temple). De nos jours, nous avons l’habitude de nous souvenir du Beth Hamiqdash, et nous nous réjouissons lors de « Sim’hath Beth Hashoava » chacun des soirs de ‘Hol Hamoêd (demi fêtes) de Soukkoth, avec des Sifré Torah, accompagné de musique, et nous chantons et dansons en l’honneur de la Torah.
Shémini Atséreth
23) [2-ו-כג] Le huitième jour de la fête est appelé « Shémini Atséreth » et en dehors d’Israël on mange dans la Soukka le premier soir de « Shémini Atséreth », cependant on ne fait pas la bénédiction « Léshev Basoukka ».
Quelqu’un qui réside en dehors d’Israël et qui est en voyage en Israël, doit faire les deux jours de fêtes spécifiques à la diaspora. S’il a une maison pour lui, il réside dans la Soukka sans faire la bénédiction et s’il est invité chez quelqu’un qui est résidant d’Israël, il ne résidera pas du tout dans la Soukka et mangera dans la maison avec le maître de maison.
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