Quelques règles relatives aux bénédictions alimentaires – Rav David Pitoun
règles bénédictions alimentaires
Cours du Rav David A. PITOUN (5775)
Le cours est en vidéo sur YouTube.
- L’univers et tout ce qu’il contient appartient à Hashem, mais comment l’exprimer concrètement ?
- L’alimentation fait partie de notre quotidien, mais par quel moyen sommes-nous autorisés à en tirer profit ?
- Les règles relatives aux bénédictions alimentaires sont beaucoup plus nombreuses que l’on s’imagine, et elles véhiculent un message capital pour mener une véritable vie de juif au point ou notre Emouna est mesurée selon la récitation scrupuleuse de nos bénédictions alimentaires …
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La priorité des fruits des 7 espèces pour la bénédiction sur un fruit de l’arbre
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Quelle est la règle lorsqu’on est en présence d’un fruit de l’arbre de la catégorie des 7 espèces et d’un fruit de l’arbre ne faisant pas partie de cette catégorie ?
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Idem mais avec 2 fruits de l’arbre ne faisant pas partie de la catégorie des 7 espèces ?
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Quelle est la règle lorsqu’on est en présence d’un fruit de l’arbre de la catégorie des 7 espèces et d’un fruit de la terre ? – Par quelle bénédiction dont-on commencer lorsqu’on est en présence d’un aliment dont la bénédiction est « Ha’Ets » (ou » Ha-Adama » ou » Mézonot « ) et un aliment dont la bénédiction est » Shé-Hakol » ?
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Comment doit-on procéder lorsqu’on est en présence de différents fruits faisant partie eux-même de la catégorie des 7 espèces ?
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Le vin est-il prioritaire pour sa bénédiction vis à vis d’autres fruits ?
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L’obligation de ne réciter la bénédiction sur un aliment que lorsqu’on est en sa présence, et quelle est la règle à postériori lorsqu’on a récité la bénédiction sur un aliment absent au moment de la bénédiction ?
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Idem lorsqu’on a récité la bénédiction lorsque l’aliment était présent mais enveloppé dans son emballage – Est-il permis de réciter la bénédiction de » Shé-Hakol » lorsqu’on boit à un robinet ou à une source d’eau ?
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Une personne se trouve chez elle et récite la bénédiction sur un aliment qu’elle consomme, puis décide de consommer encore de ce même aliment (ou d’un aliment de la même bénédiction) mais doit aller le chercher dans une autre pièce de la maison, doit-elle de nouveau réciter la bénédiction sur l’aliment ?
Ce cours n’est qu’un rapide aperçu des principales règles relatives aux bénédictions alimentaires, mais c’est peut-être l’occasion pour beaucoup d’entre nous de clarifier certaines situations de ce domaine, et de s’éviter enfin des bénédictions en vain, ainsi que des négligences de bénédictions …
Cours enregistré le 2 février 2015 au Beit Midrash ‘Hazon Ovadia – Synagogue Rav ‘HYDA Lyon France
Article de l’auteur, Rav David Pitoun, initialement publié sur sa chaîne Youtube ou sur son blog http://ravdavidpitoun.blogspot.com/
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One Comment
David, ben Noa'h
toda raba Rav magnifique shiour.
Je suis un non juif qui applique les sheva mitsvoth pour les b’nei Noa’h et nous avons l’obligation morale (non le commandement) de réciter les berakhot avant la consommation d’un aliment. Je cherche évidemment à faire les choses correctement, et là j’ai bien été guidé.
toda raba Rav et toda raba Dan