Quelques lois concernant le Kaddich (suite)- Halacha yomit

lois sur le Kaddich

Première partie

Traduction et adaptation par Rav F. Elbaze

Cette publication de « Halacha Yomit » traite des lois relatives au Kaddich. Les articles de « Halakha Yomit » sont traduits et adaptés par le Rav Freddy Elbaze. Les articles originaux sont issus du site Halacha Yomit

Cette publication est dédicacée à l’élévation de l’âme de Mordékhay ben Sarah  (Albin).

« Yéhé Chéméh Rabba » est plus important que la Kédoucha (Kadoch, Kaddoch…), c’est pourquoi, si deux offices se déroulent simultanément (par exemple au Kotel), d’un côté on entend le Kaddich et de l’autre  côté la Kédoucha, Yéhé Chemeh Rabba aura la priorité.

Néanmoins, si deux synagogues se trouvent devant nous, lorsque l’on arrive devant la première, il faudra répondre à la Kédoucha, et lorsque l’on arrivera devant la seconde, le Kaddich après la Amida se présentera, on répondra d’abord à la Kédoucha, car dans cette situation bien précise, on sera forcément tenu de répondre à ces deux louanges.

Si on a commencé la Kédoucha, et que l’on entende Kaddich dans le Minyane voisin, on n’interrompra pas la Kédoucha. Il en est de même pour le cas inverse : on a entamé Yéhé Chemeh rabba, et l’on entend à côté la Kédoucha, on continuera à répondre au Kaddich.

L’usage chez les Sepharadim est de ne pas se lever quand on entend le Kaddich et Barékhénou. Si on a saisi le Kaddich quand on était déjà debout, on ne pourra se rasseoir qu’à la fin du Kaddich, c’est-à-dire après « Daamiran Bealma ». Le seul Kaddich, où beaucoup de communautés Sépharade se lèvent depuis le début, est celui de Barékhénou du vendredi soir, car à ce moment là on reçoit une partie de l’âme (Nefech) supplémentaire.

L’usage chez les Ashkénazim, est de se lever pour tous les Kaddich de Barékhénou.

Un Sépharade qui se trouve dans un Minyane Ashkénaze, suivra la communauté et se lèvera pour Kaddich et Barékhénou.

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