Paracha Vay’hi le saviez vous ? Rav Michael Smadja
Paracha Vay’hi Le saviez vous
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Paracha Vay’hi le saviez vous ? Rav Michael Smadja
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Paracha Vay’hi le saviez vous ?
Au moment de partir rejoindre ses pères, Yaacov a réuni tous ses fils pour leur dévoiler la fin des temps « קץ הימים », mais au dernier moment, il a changé de sujet et a commencé à les bénir.
Pourquoi?
Car la présence divine, la שכינה s’est éloignée de lui, il ne la ressentait plus. Il s’est dit que cela était sûrement parce qu’il y avait des fautes parmi les tribus. Il s’est tourné vers ses enfants et leur a demandé s’ils avaient fauté. Ils répondirent qu’il n’y avait pas les lettres « ח » et « ט » dans leurs noms ce qui est la preuve qu’ils n’ont pas fauté (car le mot « faute » en hébreu se dit « חטא »). Alors Yaacov leur a répondu que de même, il n’y a pas les lettres « ק » et « ץ » dans leurs noms qui forment le mot »קץ » qui veut dire qu’il ne peut leur révéler la fin des jours, קץ הימים.
Il y a lieu de se poser une question: si les tribus n’avaient pas de fautes, que leur manquait-il alors pour que le « קץ הימים » la fin des temps leur soit dévoilée?
Que représente véritablement la fin des temps? Le dévoilement divin. Toutes les créatures percevront D-ieu. Comment? Par une perception extra-sensorielle. Et comment cette perception extra-sensorielle peut-elle se réveiller? En arrivant à maîtriser sa perception sensorielle et par ceci s’ouvrent les portes à une perception supra-sensorielle. Ceci ne pouvant passer que par l’harmonisation de toutes ces énergies issues des sept principes inférieurs qui se matérialisent en nous.
Pour quelle raison, les tribus ont-elles été exilées en Égypte? Car ils avaient toujours en eux de la haine et de la jalousie envers Yossef malgré qu’ils aient retrouvé leur frère. C’est-à-dire que bien qu’ils n’aient pas sur eux de fautes, il n’en reste pas moins que leurs principes spirituels étaient altérés et ne pouvaient permettre cette perception extra-sensorielle de manière constante. Car à la fin des temps, cette perception sensorielle sera complètement occultée et seule la perception extra-sensorielle sera à l’honneur.
Par l’exil de l’Égypte et de tous les autres exils qui vont suivre, le juif va travailler sa perception et ses sept principes inférieurs afin qu’à la fin des temps ceux-ci seront réparés et par ce travail, les préparer à la perception extra-sensorielle leur permettant de percevoir le divin qui sera le début de la révélation divine dans le monde.
Sur une idée du Rav mordekhaï Chriqui sur la structure de l´âme n.8 qui va bientôt être diffusé.
« Et Yaacov vécut en terre d’Egypte…. »
Paracha Vay’hi le saviez vous ?
Seuls deux chapitres de la Torah parlent de la disparition de justes.
Lesquels?
La paracha « h´ayé Sarah » et la paracha « vayh´i ».La paracha « h´ayé sarah » parle de la disparition de Sarah et la paracha « vayéh´i » parle de la disparition de Yaacov.
Bizarre ne trouvez-vous pas? Les seuls chapitres parlant de la mort physique de justes sont nommés au nom de la « vie »! « H´ayé » et « vayeh´i » sont des mots dont leur racine est « h´aï » la vie!
Cela vient nous apprendre que seule la vie éternelle, la vie après la mort est la véritable vie.
Et pourquoi?
Car tout ce qui a besoin de se définir par son contraire n’est pas la vérité. La vérité n’ayant pas de limite car étant éternelle. Toute chose dans la création est vouée à sa perte car elle ne peut se percevoir que par son contraire qui lui donne sa limite (la chaise qui est devant moi ne peut être perçue que par sa fonction qui est en réalité sa limite et par cela, sa fonction cache l’éternité enfouie dans la chaise) La vie physique ne peut se percevoir que parce qu’elle a une fin. La mort étant la limite de la vie et vice-versa. Mon intellect ne peut percevoir la vie que par ce qu’elle a une fin, une limite. Par contre une fois que cette limite disparait alors la vie physique aussi disparaît. Et par cela, cette vie limité par la mort laisse place à une vie sans limite.
La Torah vient nous apprendre que seulement une fois que nous nous serons débarrassés de nos limites alors apparaîtra la réalité de l’éternité. Enlevons les limites que nos cerveaux bâtissent en nous et alors ceux-ci pourront alors percevoir l’illimité et l’éternité qui se cache dans le limité.
« Yaacov a vécu….et se sont approchés les jours de Israël à mourir….
Paracha Vay’hi le saviez vous ?
Dès fois, Yaacov avinou est appelé « Yaacov » et dès fois il est appelé « Israël » dans la Torah.
Pourquoi?
Le nom de Yaacov est employé pour évoquer les pulsions organiques que son corps émet au contact de ce monde, cela fait référence à son âme animale. Comment il se comporte dans ce monde de l’action. Car son nom vient du fait qu’au moment de sa naissance, il tenait le talon de Éssav. Alors que le nom « Israël » fait référence aux énergies divines que son âme supérieure diffuse dans son corps. Car ce nom lui a été donné par l’ange qu’il a combattu et vaincu. Ce nom évoque son action dans les mondes supérieurs.
Il est connu que les qualités de l’âme doivent dominer les qualités du corps mais celles-ci ne peuvent être éliminées complètement car sinon il serait impossible de survivre. Le corps à priori a besoin d’être nourri pour qu’il perdure dans la matière. Le cerveau a besoin d’être dans un état de repos pour que le corps puisse survivre…Donc le but de l’homme est que ses besoins spirituelles deviennent principaux et ses besoins matériels secondaires. C’est ce que nos sages enseignent sur le verset: » ton nom ne sera plus Yaacov mais Israël » nous voyons que la Torah l’appelle malgré le verset encore Yaacov! Cela ne veut pas dire que son nom a été complètement déraciné de son endroit mais que son nom Israël soit la véritable réalité de son être et que son nom Yaacov soit secondaire.
Et tout celui qui considère les besoins de son corps comme étant la raison de son existence et les besoins de son âme comme secondaires, ne vit pas dans la réalité et est dans un état de mort spirituel.
Et pour cela, au début de la paracha, il est écrit: » et « Yaacov » a vécu….et les jours de résidence de « Yaacov » en Égypte… » Car au sujet de cette vie terrestre, il ne peut être mentionné que le nom « Yaacov ». Par contre, lorsqu’il est fait mention de sa mort physique, c’est son nom « Israël » qui est évoqué car par l’extinction des forces de l’âme animale, se libèrent alors complètement les pulsions de l’âme divine, qui est alors la vie éternelle du monde futur.
Rabbenou Béh´ayé
Que sais-je?
D-ieu se conduit et se perçoit de deux manières différentes :
- soit par une conduite faite de causes et d’effets, la conduite dite de « l’arbre de la connaissance du bien et du mal », la conduite de la dualité.
- soit par une conduite de l’unité, la conduite dite de « l’arbre de la vie ».
Le Zohar explique que ces deux conduites sont incrustées dans les noms de Yaacov, la conduite divine dans ce monde par la perception de la dualité faite de causes et effets est incrustée dans le nom « Yaacov ». Et le nom « Israël » fait allusion à la conduite de l’unité, la conduite du monde au temps du mashiah´.
Il nous faut comprendre maintenant comment s’insèrent ces deux conduites dans le récit de la Torah? Où peut-on percevoir la conduite de l’unité dans le texte de la Torah? Dans le don de la Torah sur le mont Sinaï lorsque Moshé notre maître a reçu la torah. Car nous voyons que la valeur numérique du mot « Mashiah´ » est 358 et le nom « moshé » est 345, si nous rajoutons le mot « un » en hébreu « Eh´ad » dont la valeur est 13 qui fait 345+13=358. Moshe aurait dû être le Mashiah´, il ne manquait que l’unité du peuple d’Israël.
Le saviez-vous?
Au moment où les enfants d’israël sont arrivés au mont Sinaï, il est écrit: » et « Israël a campé là-bas ». Tous les commentateurs posent la question: il aurait dû être écrit: » et les enfants d’Israël ont campé » et non « Israël »? Mais nous pouvons maintenant comprendre. « Israël » fait allusion au niveau spirituel du temps du Mashiah´ car au moment du don de la Torah la conduite divine de l’unité s’était dévoilée.
Donc dans tout le récit de la Torah où il sera fait mention du nom « Israël », cela fera référence à une étape vers le don de la Torah.
Dans notre Paracha il est écrit: « et Yaacov a vécu …et ce sont rapprochés les jours d’Israël à mourir…
Quel lien y a-t-il avec le don de la Torah?
Il est connu que l’esclavage proprement dit, n’a commencé qu’à partir de la mort de tous les enfants de Yaacov mais l’obscurité qui a amené à cet esclavage a commencé avec la disparition de Yaacov.
Quel était le but de cet esclavage? D’affaiblir les pulsions animales de la matière organique du peuple d’Israël afin de …recevoir la Torah. Donc la disparition de Yaacov est une étape obligatoire pour arriver à percevoir la conduite divine de « l’arbre de la vie ». Pour cela, il est appelé à ce moment, « Israël ».
« Il a inversé ses mains car Ménaché était l’aîné »
Lorsque Yossef a présenté ses deux fils à Yaacov pour les bénir, il a placé Ménaché devant la main droite de son père et Éphraïm à sa gauche afin que Ménaché qui est l’aîné de Yossef soit béni de la main droite. Alors Yaacov a croisé ses mains afin de bénir Éphraïm de la main droite et Ménaché de la main gauche.
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Paracha Vay’hi le saviez vous ?
Pour exprimer l’action d’inverser ses mains, la torah emploie le mot « sikel » « שיכל » qui est un langage d’intelligence. Onkélos traduit ce mot ainsi « אתחכמנון לידוהי » que l’on traduit en général, simplement « il a agi avec sagesse par ses mains » c’est-à-dire en inversant ses mains.
Mais le grand maître du Moussar Rabbénou Yérouh´am traduit ces mots ainsi: » Yaacov avait un tel niveau de maîtrise de soi, de conscience de soi que ses mains ont agi » avec sagesse d’elles-mêmes » pour faire ce que ses mains devaient faire à ce moment précis. Et c’est exactement les mots du Targoum: « אתחכמנון לידוהי »
C’est tout le travail que l’homme doit faire dans son monde qui est le monde de « l’action ». Arriver à un niveau de conscience où la pensée ne « vagabonde » plus au moment de l’action et laisse place à une conscience de soi parfaite où l’action domine complètement jusqu’à ce que le corps perçoive de lui-même sans passer par l’intellect pour agir. C’est cela la sagesse du corps. Et ainsi petit à petit, l’homme se déconnecte de la conduite divine dite de cause et effet pour entrer dans une conduite de l’unité où l’homme ressent que son acte n’entraîne aucune altération de la réalité et ne devient par ceci qu’un ustensile dans les mains de D-ieu sans autre ambition que de faire ce qu’il doit faire à ce moment précis et sans ressentir surtout que son acte à un impact dans la réalité, entraînant une conséquence. Nous pouvons comprendre maintenant l’enseignement du Gaon de Vilna à propos de Avraham au moment du sacrifice d’Itsh´ak lorsque le verset précise: « Avraham lança sa main et prit le couteau ».
Pourquoi préciser qu’il lança sa main? Cela vient nous apprendre que Avraham avait un tel niveau de conscience que ses actes n’étaient plus commandés par son intellect mais par la volonté divine et comme D-ieu n’avait jamais ordonné de tuer Itshak, sa main ne pouvait se diriger vers le couteau. Alors, tellement son amour de D-ieu était grand qu’il a voulu quand même accomplir ce qu’il croyait être un ordre divin et il s’est alors déconnecté de cette conduite divine de l’unité pour revenir dans une conduite divine ou l’intellect commande le corps. Pour cela, il est dit « il envoya sa main » c’est-à-dire que son intellect commanda à sa main de prendre le couteau.
Paracha Vay’hi le saviez vous ?
Il est possible de trouver une allusion sur le fait que Yaacov était différent des autres patriarches. Nous avons trouvé qu’il était appelé « le plus parfait des patriarches » » בחיר האבות » et que sa couche » était parfaite sans aucune imperfection et encore plus, nous voyons que D-ieu l’a appelé « El » « D-ieu »!
Si cela est ainsi, pourquoi n’a-t-il pas eu une aussi longue vie que ses pères? Cependant il est possible que même ceci soit venu nous enseigner son niveau d’extrême sainteté. Car voici, la valeur numérique de « Yaacov » est 182 qui est 7×26, sept fois le tétragramme. Et ses années de vie sont de 147 ans qui sont 7×21 c’est-à-dire sept fois le nom « אהיה« . Il est connu dans le Zohar que le nom « אהיה » « Eqyé » est une forme divine, une sorte de « manteau » qui recouvre le nom » Havaya ». C’est ce niveau de sainteté que Yaacov a reçu. Il a reçu sur lui sept fois le tétragramme et sept fois le nom « Eqyé » qui sont chacun d’eux l’habit du nom « Havaya ».
Rabbi Yaacov Abih´atséra
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« Et Israël a envoyé sa main droite et l’a placée sur la tête de Éphraïm et il était le plus jeune et sa main gauche sur la tête de Ménaché il a inversé ses mains avec intelligence car Ménaché était l’aîné »
Le saviez-vous?
Dans la bénédiction des Cohanim, il est écrit: » et il élèvera ses mains » mais dans un autre endroit il est écrit: » et il élèvera sa main » au singulier! Cela vient nous apprendre qu’il faut élever la main droite au-dessus de la main gauche au moment de la bénédiction.
Nous voyons de la bénédiction de Yaacov que puisqu’il a croisé ses mains et donc une main était obligatoirement en-dessous de l’autre, il aurait fallu envoyer d’abord la main gauche sur la tête de Ménaché et ensuite envoyer sa main droite sur la tête de Éphraïm afin que sa main droite soit au-dessus de sa main gauche. Mais il n’a pas agi ainsi et il a mis sa main droite d’abord sur la tête de Éphraïm puis sa main gauche sur la tête de Ménaché ! Et donc sa main gauche était au-dessus de sa main droite au moment de la bénédiction!
Pourquoi?
Pour cela, la Torah précise « et il a croisé ses mains avec sagesse car Ménaché était l’aîné »
Ceci était une véritable intelligence car du fait qu’il savait que Ménaché était l’aîné et bien qu’il avait une raison particulière de bénir l’aîné avec la main gauche et le plus jeune avec la main droite, malgré cela, il a élevé sa main gauche au-dessus de la main droite pour montrer que Ménaché est l’aîné et que l’abondance de sa bénédiction ne vient pas de Éphraïm mais d’un canal différent et particulier. Pour cela, la gauche est venue au-dessus de la droite.
Le Malbim
Shéma Israël Hachem élokénou Hachem héh´ad
Il est expliqué dans le Midrash que Yaacov a voulu dévoiler la fin des temps à ses enfants alors la présence divine s’est retirée de lui. Alors Yaacov a cru que sa descendance n’était pas parfaite de la même manière que Avraham a engendré Yishmaël et Itshak, Éssav. Alors ses enfants ont déclamé: » shéma Israël Hachem élokénou Hachem héh´ad ».
Explication: de la même manière qu’il n’y a que l’unité divine dans ton cœur ainsi, en est-il dans nos cœurs. Alors Yaacov a dit: « que soit source de bénédictions le nom de la gloire de sa royauté à jamais ».
Le Maharal de Prague explique le mot « אחד » » unité » ainsi « א » pour Yaacov, « ח » pour les 8 enfants de ses deux femmes 6 enfants de Léa et 2 enfants de Rahel. Et le « ד » pour les 4 enfants des concubines 2 pour Bilha et 2 pour Zilpa.
C’est-à-dire l’union totale vers l’unité de Yaacov et de ses enfants sans faille » qui est comme toi Israël peuple unique sur la terre » c’est-à-dire le peuple qui a le pouvoir de dévoiler l’unité divine dans ce monde.
Il n’y a jamais eu plus grand unicité divine dans le peuple d’Israël ( si ce n’est au temps du Mashiah´) comme ce moment où Yaacov a réuni ses enfants pour leur dévoiler la fin des temps et pourtant la présence divine s’est enlevée de sur Yaacov. Pourquoi?
A propos de la bénédiction de Dan, il est écrit: » et Dan sera un serpent sur les chemins, qui mord les talons des chevaux pour renverser l’ennemi. En ton salut j’espère D-ieu » Le Midrash explique que cette prophétie se réalisera avec Chimchon, Samson. Yaacov était persuadé qu’il allait être le Mashiah´ mais lorsqu’il a perçu qu’il allait mourir, il n’a plus rien compris et s’est tourné vers D-ieu en suppliant: « en ton salut j’espère D-ieu ».
Yaacov a compris que personne ne pouvait percevoir la fin des temps, même le plus grand des sages et des justes n’est pas obligatoirement le Mashiah´ et que seul l’espoir pouvait faire naître le Mashiah´.
Rabbi Itshak enseigne que tout ne se réalise que par l’espoir: la sanctification du nom divin, le mérite des pères, l’envie du monde futur par l’espoir, la volonté d’espérer en la venue du Mashiah´.
Rabbi Akiba toute sa vie voulait réaliser les mots du verset » et tu l’aimeras de toute ton âme » il a espéré sanctifier le nom divin et il a été exaucé à la fin de sa vie par sa propre mort. Tout ce qui nous arrive, ne vient que parce que nous l’avons espéré. Toutes les libérations ne viennent que par l’espoir d’être délivré.
Le Rav Yehezkiel Levinstein explique le verset suivant ainsi: » je suis D-ieu qui t’a élevé de la terre d’Egypte élargis tes mains et je les rempilerai». Je t’ai élevé en te sortant d’Egypte alors ouvre-toi et reçois ce que je te donne. Ne reste pas petit. Je peux te donner mais à une seule condition: lorsque tu acceptes de recevoir. Cette acceptation se traduit par une espérance. Plus un homme espère, plus il reçoit.
Ainsi Yaacov a compris pourquoi il ne pouvait dévoiler la fin des temps car il manquait l’envie que cela arrive. Ainsi les mots » que soit source de bénédictions le nom de gloire de sa royauté à jamais ». C’est cela qu’il a insufflé dans le monde. L’envie, l’espérance en la venue du Mashiah´. Il ne suffit pas de croire qu’il va venir, il fait l’espérer jusqu’à ne plus penser qu’à ce moment du dévoilement divin.
Extrait de la dracha de Rav Moshé shapira
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Fin de l’article Paracha Vay’hi le saviez-vous rédigé par Rav Michaël Smadja. Mis en ligne le 26 novembre 2014 et mis à jour le 6 Décembre 2019