Parachat Chémot Le saviez vous
Parachat Chémot Le saviez vous
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Rav Michaël Smadja
Parachat Chémot Le saviez vous?
« Voici les noms des enfants d’israël qui sont venus en Égypte »
Rashi se demande pourquoi avoir besoin de les recompter à leur mort alors qu’ils ont été déjà comptés de leur vivant? Pour montrer l’amour que leur porte D-ieu, car ils sont comparés aux étoiles qui sont comptés et nommés lorsqu’ils sortent la nuit et rentrent au petit matin.
Tant que le soleil illumine, la lumière des étoiles ne se perçoit pas car la lumière du soleil est trop forte. Quand peut-on percevoir leur lumière? Lorsque le soleil se couche et que l’obscurité s’étend dans le monde. Alors la lumière des étoiles commence à illuminer et à éclairer les habitants de la terre et alors se distinguent une multitude d’étoiles
Ainsi étaient les douze tribus. Tant que Yaacov était vivant, leur grandeur ne pouvait se percevoir car Yaacov était comme un soleil luisant en plein après-midi. Un soleil illuminant de toute sa puissance empêchant les gens de percevoir les lumières des autres étoiles. Cependant lorsque Yaacov est mort et que les tribus saintes sont entrés dans l’obscurité de l’Egypte, alors leur lumière a commencé à luire dans la noirceur de l’Egypte et plus l’obscurité s’épaississait ainsi leur lumière se percevait de plus en plus.
Rav kamiensky
Parachat Chémot Le saviez vous?
C’est avec le nombre Pi: 3,14…sept chiffres après la virgule, que l’univers a été créé affirment les scientifiques. Car avec ce nombre, ils arrivent à calculer le diamètre de l’univers.
Mais le saviez-vous vraiment?
Le nom « שדי » le nom divin par lequel l’univers a été créé et par quoi l’univers a une limite a la même valeur numérique: 314.
Un compte se dit: מספר mispar
Un livre se dit: ספר sépher
Et des ciseaux se disent: תספורת tisporet
Ces trois mots ont la même racine « ספר« . Sépher.
Devinette : Quel est le lien entre un compte de chiffres, un livre et une paire de ciseaux?
Que sais-je?
Pourquoi D-ieu a-t-il limité le pouvoir des étoiles en les comptant si au départ leur pouvoir était illimité?
Car c’est par ces étoiles que D-ieu dirige le monde et cette conduite qui tire sa source de l’infini doit forcément être limitée dans la matière puisque la matière est elle-même limitée. Et donc D-ieu a sorti ces étoiles de leur nature infinie pour les faire entrer dans le fini.
Comment?
En introduisant en eux cette notion quantifiable de compte, de limite qui stoppe toute progression vers l’infini. Et quel est le lien entre ces trois noms? C’est que chacun donne une limite à ce pourquoi il est destiné.
Le nombre « mispar » donne une limite au chiffre car en lui-même le chiffre est illimité mais contenu dans un compte, il devient limité.
Le livre donne la limite des mots qui sont contenus dedans.
Et les ciseaux donnent une limite au cheveu. Celui-ci étant voué à l’expansion. Le ciseau vient stopper cette progression.
De même le compte vient stopper la bénédiction.
Lors de l’expansion de l’univers, D-ieu a dit « daï » « cela suffit » afin que la matière arrête de s’étendre. Lorsque D-ieu compte les étoiles, il met une limite à leurs énergies qui en elles-mêmes sont infinies.
Nous comprenons maintenant pourquoi il est interdit de compter les enfants d’Israël. Car le compte met une limite et comme les enfants d’Israël sont éternels, le compte viendrait altérer cette éternité.
Il y a alors une question: Pourquoi D-ieu compte-t-il alors les enfants d’Israël lorsqu’ils arrivent en Égypte, et en plus par amour pour eux?
Car en fait par eux va être conduit le monde comme il est conduit par les étoiles. Et comme le monde est fini, D-ieu doit aussi mettre une limite dans les « enfants d’Israël » afin de pouvoir agir et diriger dans ce monde comme les étoiles agissent et dirigent dans le monde.
Parachat Chémot Le saviez vous?
D’où apprend-on qu’il n’y a pas de destinée (mazal) pour Israël ?
Lorsque D-ieu sorti Avraham de l’influence des étoiles.
Le saviez-vous ?
Lorsque D-ieu annonce à Avraham qu’il aurait un fils. Avraham lui fait remarquer que son destin exprime le contraire. Que veut formuler Avraham par cette remarque ? D-ieu n’est-il pas tout puissant ?
Avraham vient avec une vérité inéluctable. Pour changer ma destinée, il faut que tu changes la direction divine. Et cela doit se ressentir dans la conduite divine sur terre. Si la conduite divine se matérialise par l’intermédiaire des étoiles alors ce changement doit être perçu par une course astrologique différente et je ne ressens pas de différence dans cette course astrologique.
Alors à ce moment, D-ieu créa une nouvelle conduite en dehors de l’influence des étoiles. C’est l’innovation. La conduite naturelle des étoiles ne l’influence plus dans sa réalité profonde. Avraham n’est plus géré par la course astrologique (conduite naturelle avec ses règles immuables, ses limites mais par les étoiles elles-mêmes sorties de leur compte et donc influence illimitée.
Ainsi est la réalité du peuple d’Israël.
Le saviez-vous ?
Comment Moshé Rabbénou savait-il que les deux hébreux qui se disputaient étaient des méchants ?
Car deux amis qui se trouvent dans une situation difficile, vont s’aimer et s’entraider naturellement et ils n’en arriveront jamais à se disputer. Pour cela, Moshé l’appelle « méchant » car il aurait dû faire corps avec son ami au lieu de se disputer.
L’aviez-vous remarqué ?
Si Moshé est né un 7 Adar et qu’il a été caché pendant trois mois aux yeux des égyptiens, à quelle date précise, Myriam l’a placé dans la corbeille sur le Nil ?
Le 7 Sivan, le même jour que le don de la Torah.
Quel lien y a-t-il alors entre ces deux événements ?
Le Ramh´al à propos du libre-arbitre part d’un axiome dicté par nos maîtres : « tout vient des cieux sauf la crainte des cieux« . Comment interpréter cet enseignement ?
Si nous disons comme nous le comprenons en général : »tout vient des cieux » c’est-à-dire « tout ce qui touche au profane » est dicté par les cieux par contre tout ce qui concerne les « commandements de la Torah » est du ressort de notre libre-arbitre serait une approche erronée car il aurait été plus approprié de dire » il y a des actes qui viennent des cieux et d’autres gérées par notre livre-arbitre ». S’il est dit » tout vient des cieux » cela veut bien dire « tout acte est dirigé et commandé par D-ieu ». Alors que veulent dire les mots » à l’exception de la crainte de D-ieu » ?
La « crainte des cieux » ne désigne pas un acte mais un état d’état d’esprit au moment de l’acte. Mon libre-arbitre va agir sur la manière comment ressentir l’acte que je suis en train de faire. Soit je ressens que je dirige mon acte ou bien j’élimine cette sensation de contrôle et je laisse D-ieu envahir tout mon être.
Le 7 Sivan, Myriam a posé la corbeille où se trouve Moshé dans le Nil le même jour que le don de la Torah. Quel lien y a-t-il alors entre ces deux événements ?
Le mot « téva » « corbeille » veut aussi dire « nature ». C’est-à-dire que la « corbeille » fait référence à la nature et à la réalité intégrale de moshé Rabbénou. Car un homme est constitué de l’association d’un corps et d’un esprit. Le corps étant la prison de l’esprit. L’âme animale est imbriquée avec l’intellect-agent (conscience) jusqu’à ne faire qu’un, ne pouvant plus se séparer d’elle.
Cependant Moshé Rabbénou était au niveau spirituel du premier homme avant la faute, avant la séparation. Son âme était séparée de son corps et pouvait se dépouiller de son vêtement corporel à tout moment
Nos sages comparent le corps à un bateau qui ferait traverser l’âme divine, ce torrent qu’est la vie qui fait tanguer le bateau et que sans celui-ci il serait impossible de traverser.
L’eau étant d’une constitution chimique différente de notre corps qui est fait des 4 éléments [eau-terre-air-feu]. Ainsi l’âme est d’une constitution différente de la matière et il lui faut un corps de même constitution pour rester dans cette matière, un bateau pour traverser ce flux de vie matérielle.
Le corps de Moshé était d’une constitution chimique spéciale où l’air était en grande quantité comme la corbeille en osier (l’osier étant une matière très légère) qui réussit à flotter, ainsi sa conscience pouvait flotter au-dessus de son corps.
Moshé avait déjà le niveau spirituel requis pour recevoir la Torah où le corps ne domine plus l’intellect-agent et par ceci, celui-ci peut se tourner directement vers son âme divine pour recevoir le message divin de la Torah.
Retour sur la paracha « chémot »
Le Ramban fait remarquer comment s’articule le livre « chémot ». Le commencement parle de l’esclavage pour arriver aux 10 plaies puis la sortie d’Egypte, l’ouverture de la mer, la tombée de la nourriture céleste pour au bout de 50 jours, arriver au don de la Torah.
Et pourtant, il y a un problème, le livre de chémot continue avec la construction du Mishkan alors que cette partie de la Torah devrait être dans le livre « vayikra » ou il est enseigné les lois des sacrifices qui doivent être approchés dans le Mishkan ?
Que représente réellement la construction du Mishkan ?
C’est la matérialisation de la présence divine dans ce monde. L’endroit où tout un chacun peut ressentir la présence divine sur terre. Ressenti au-delà de la perception sensorielle où l’esprit s’élève et se défait de ses entraves sensorielles issues de notre esprit imbriqué dans la matière.
Le don de la Torah a été justement le moyen de pouvoir se défaire de cette imbrication de la matière avec l’esprit. Mais à cause de la faute du veau d’or, l’esprit n’a pu se libérer complètement et une autre Torah nous a été donnée plus matérielle. Et pour qu’avec cette Torah, l’esprit puisse complètement se libérer, il a fallu que la présence divine se concentre dans un endroit spécifique, générateur d’énergie divine afin de libérer l’esprit de son enclave matérielle.
En résumé tout le but de l’esclavage, des souffrances de l’esclavage, la délivrance, le cheminement dans je désert, le don de la Torah et la construction du Mishkan n’ont qu’un même et seul but, délivrer notre esprit de la matière et ainsi en élevant celle-ci, s’ouvrir à la présence divine.
Parachat Chémot Le saviez vous?
A quel moment, D-ieu a commencé la délivrance du peuple d’Israël ?
« et ce fut dans ces nombreux et le roi d’Égypte est mort et les enfants d’Israël ont gémit depuis le dur labeur et ils ont crié et est montée leur cri vers D-ieu depuis le dur labeur »
Qu’est-il écrit après ? « Et D-ieu a entendu leur cri »
Qu’est-ce qu’un cri ? Cela est une réaction de l’esprit où les mots ne peuvent exprimer le ressenti, où l’intellect ne domine plus les événements (de même que les pleurs). Le but de l’exil étant d’arriver à dépasser cet intellect dominé par les perceptions de nos sens.
Ressentir avec le supra-conscient et cela ne passe pas par les mots. De même nous voyons que le jour de Rosh Hachana, nos plaintes montent pas les sons d’un chofar.
Devinette
« et ce fut dans ces nombreux jours et le roi d’Egypte est mort… »
Donnez deux preuves que lorsque le verset exprime la mort de Parrho, cela ne veut pas indiquer sa véritable mort ?
Il est remarqué que lorsque la Torah veut parler de la mort d’un roi, il le nomme directement » et Shlomo a rejoint ses pères » car un homme n’est pas sa fonction ou son titre. Et lorsque l’âme se sépare du corps, rien de ce monde ne part avec lui car tout ce monde matériel n’est qu’un moyen pour s’élever et donc une fois sa vie écoulée, l’âme revient à sa source divine sans aucun artifice de ce monde.
Et donc si le verset précise « et le roi d’Égypte est mort » et non « Parrho est mort » cela veut dire qu’il n’est pas vraiment mort mais qu’il est devenu lépreux car un lépreux est considéré comme mort. Il est mort tout en étant toujours dans son enveloppe physique.
De plus, lorsqu’il est mentionné « et ce fut dans ces nombreux jours », cela fait référence à une période assez longue, et si cela faisait référence à la mort physique de Parrho, celle-ci n’aurait duré qu’un instant.
Si nous voyons les trois premiers mots du premier verset de la Torah, « בראשית ברא אלוקים », les lettres finales de ces trois mots forment le mot « אמת« , vérité.
De même nous voyons que les deux boîtiers de téphiline contiennent chacun d’eux quatre chapitres de la Torah avec 21 noms « Havaya » donc encore une fois 21×21=441 la valeur numérique de la « vérité, « אמת« .
Que veulent dire exactement ces mots » je serai avec vous dans la souffrance de tous les exils » pour dire que cela est le « émet » ?
La souffrance serait-elle la vérité ? Évidemment que non! Au contraire la souffrance n’est qu’une altération de la réalité. Alors que veulent dire ces mots?
D-ieu n’est que bonté donc la vérité n’est que bonté. Lorsque nous nous mettons à porter un jugement, nous ne sommes plus dans la vérité et donc plus dans le bien mais dans le mal qui est l’essence de la dualité.
Comme nous voyons au sujet de la médisance qui est interdite d’après la Torah. Et donc la médisance n’est que mensonge bien que cela est la « vérité du moment », n’est-il pas?
La souffrance n’apparaît donc que lorsque j’appréhende le monde en tant que réalité dichotomique. Ce qui est bien et ce qui est mal.
Que veulent dire les mots » à la fin des temps, le mal disparaîtra » le mal n’a jamais été une création de D-ieu. Mais une altération du bien. D-ieu dispense le bien mais il ne se perçoit pas, c’est cela la souffrance. En nous détachant petit à petit de tous ces concepts qui enclavent notre esprit, la vérité va apparaître en nous dans toute sa splendeur.
C’est cela, « je serai avec vous dans toutes les souffrances ». D-ieu n’est pas souffrance et si l’on fait l’effort adéquat, nous verrions que tout n’est que bonté. Et que le mal est une étape obligatoire pour arriver à la perception du divin.
Par les temps actuels, le bien divin est très altéré et nous devons passer par une matérialisation extrême du mal afin de nous détacher de cette perception dichotomique. Le mal faisant nous détacher de nos valeurs superficielles acquises tout au long de notre expérience physique.
Que sais-je?
Il est connu que l’étude de la Torah est plus grande si elle est étudiée en communauté mais elle peut être malgré tout être étudiée à deux ou même tout seul.
Par contre la Torah dans le rouleau de Torah ne peut être lue qu’en communauté ( 10 personnes au minimum)
Pourquoi ne peut-elle pas être lue par une seule personne? Quelle différence y a-t-il entre l’étude de la Torah et sa lecture?
Car la lecture de la Torah est une acceptation de la Torah et non une étude de celle-ci.
Lorsque nous écoutons la lecture de la Torah, nous sommes au même niveau qu’au moment du don de la Torah sur le mont Sinaï. Et donc nous devons obligatoirement la lire en tant que communauté et non qu’en tant qu’individu.
Parachat Chémot Le saviez vous?
Une des différences entre la prophétie de moshé et celle de Bilham était que Moshé ne savait pas qui lui parlait au moment de la prophétie alors que Bilham savait qui lui parlait. Bizarre non ? A priori plus on s’approche de D-ieu plus on le connaît non ?
Du fait que sa perception divine venait de son intellect et non de sa faculté imaginative (miroir) alors l’ego n’intervenait plus et donc plus de dualité et donc impossibilité de définir sa perception divine. Alors que Bilham percevait la parole divine par sa faculté imaginative (par des images) qui laissait une place plus ou moins importante à son ego qui pouvait alors avoir la sensation que quelque chose de supérieur à lui se déversait sur son esprit.
L’aviez-vous remarqué ?
Chez tous les prophètes, il est écrit : « et est apparu à lui l’ange de D-ieu » alors que pour Moshé il est écrit : » et est apparu l’ange de D-ieu a lui ». Pourquoi avoir fait une telle différence dans l’ordonnancement des mots ?
Le mot le plus proche du verbe est celui pour lequel, la Torah veut apporter un enseignement. Lorsque à propos des prophètes, il est écrit » et est apparu à lui l’ange de D-ieu » cela vient nous enseigner que ce prophète a eu une élévation extraordinaire qu’on ne lui soupçonnait pas.
Par contre, Moshé avait cette faculté prophétique depuis sa naissance donc le verset ne veut pas montrer la valeur prophétique de Moshé mais au contraire, il vient préciser que cette prophétie était basse vu qu’elle n’est venue que d’un ange et non de la providence divine directement. « et est apparu l’ange de D-ieu à lui ».
Parachat Chémot Le saviez vous?
Quelle vision prophétique Moshé a eu sur la montagne de D-ieu? Voici qu’il est écrit : » il a vu l’ange de D-ieu sur la montagne dans une flamme de feu au milieu du buisson… »
Cela ne veut pas dire qu’un ange est apparu au milieu du feu car si cela avait été le cas, pourquoi Moshé s’est-il étonné » pourquoi le buisson ne se consume pas ? » Il aurait dû s’étonner sur la présence de l’ange au milieu du feu !
En fait, l’ange de D-ieu lui est apparu comme une flamme comme le Rambam explique dans le « livre des égarés »: » dès fois l’ange apparaît sous la forme d’un homme ou sous la forme d’un feu dans les visions prophétiques ».
Parachat Chémot Le saviez vous?
Il est écrit dans le verset : » le buisson brûlait dans le feu et le buisson ne consumait pas » Il y a trois verbes pour appréhender l’action de brûler en hébreu
1/ dolek: allumer le feu comme dans la bénédiction des lumières de shabbat. » léhadlik ner Shel shabbat »
2/ « boer » l’action même de brûler proprement dite.
3/ » okhel » combustion, dégradation de la matière en cendres.
Donc dans le verset il est précisé que le buisson brûlait ( boer) mais ne se consumait pas (okhel). Comprenez-vous alors pourquoi Moshé s’étonne » pourquoi le buisson ne brûle pas » madoua lo yibhar hasséné ? » Voici qu’il est dit » et le buisson brûlait » !
Mais si nous regardons bien, il aurait été logique que le verset s’exprime ainsi: » et le feu brûle le buisson » ou » et le feu brûle dans le buisson » comme à propos des verset: » comme le feu qui brûle la forêt » ou bien » et le feu divin brûlait en eux »!
En fait » et le buisson brûlait dans le feu » indique l’action contraire. Ce n’est pas le buisson qui brûlait mais uniquement le feu. Comme à propos du verset au sujet du don de la Torah: » et la montagne brûlait dans le feu ». La montagne elle-même ne brûlait pas mais le feu divin brûlait autour de la montagne sans pour autant la toucher.
Pour cela Moché s’étonne : » pourquoi le buisson n’est pas en train de brûler et ce n’est que le feu qui se consume sans brûler le buisson?
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Fin de l’article Paracha Hayé Sarah Le saviez-vous rédigé par Rav Michaël Smadja. Mis en ligne le 5 novembre 2014 et mis à jour le 18 Novembre 2019