Cas de la veuve et de l’orphelin pour les lumières de Hanouka – Yalkout Yossef Ch. 671 §5 Yéhouda Berros
veuve et orphelin pour lumières Hanouka
Lois de Hanouka Yalkout Yossef
ÉTUDE N°2 : Règles concernant l’allumage des lumières de Hanouka et allumage à la synagogue
Siman 671 (Choul’han Aroukh) – Ce chapitre est subdivisé en 2 parties : la partie 1 contient 30 Halakhotes et la partie 2 contient 21 Halakhotes
*
Le texte complet en hébreu peut être trouvé (à la version près du Yalkout Yossef) sur le lien suivant : Torat Emet
*
Nous vous conseillons d’étudier le chapitre précédent : Choses interdites et permises lors de la fête de ‘Hanouka (Ch. 670)
*
Nous vous recommandons d’étudier la première publication de ce chapitre
- Importance d’allumer les lumières de Hanouka – Yalkout Yossef Ch. 671 §1-2
- Quantité d’huile restreinte pour les lumières de Hanouka – Yalkout Yossef Ch. 671 §3-4
*
Cette publication est Léilouy Nichmat Hanna bat Rivka
*
Troisième publication – Cas de la veuve et de l’orphelin pour les lumières de Hanouka
Halakha 5/1 : Cas de la veuve et l’orphelin
Concernant la femme veuve qui se nourrit des « biens des orphelins »[1], ils devront lui fournir de l’huile pour l’allumage afin qu’elle puisse s’acquitter de la Mitsva. En effet, les femmes sont également soumises à cette obligation car elles ont participé au miracle (avec Yéhoudit, énoncée plus haut, Halakha 15 de l’étude 1, et également la sœur des ‘Hashmonaïm qui les poussa à se révolter contre l’ennemi).
(Plus précisément), il convient de lui donner assez d’huile pour qu’elle puisse agir comme les Méhadrin[2] (personnes qui embellissent la Mitsva) en rajoutant une bougie chaque soir. Ainsi, elle pourra également se comporter comme son mari, du temps où il était vivant.
Seulement, d’après la loi stricte, on ne doit pas les forcer à lui donner (de l’huile) pour plus d’une lumière par soir, car certains disent que l’on ne doit pas forcer pour accomplir la partie Hidour (embellissement) de la Mitsva (que représente les lumières supplémentaires à la lumière du soir).
« C’est au demandeur (la femme veuve) de faire la preuve » (de prouver qu’elle a besoin d’huile et en quelle quantité) »
Références
[1] Une femme veuve, qui a donc perdu son mari, ne fait pas partie, d’après la loi, de ceux qui vont hériter des biens de celui-ci. Ainsi, l’obligation revient aux héritiers, appelés « orphelins », de subvenir aux besoins de la femme veuve. Cela concerne, entre autres, l’acquisition de l’huile pour allumer les veilleuses de ‘Hanouka.
[2] Voir Halakha 7
*
Cet article vous à plu ? Notre site vous apporte les connaissances qui vous sont utiles ? Peut être souhaiteriez vous contribuer un peu à la vie de notre site. Quelques euros pour le Jardin de la Torah, nous serons partenaires dans le Zikouy Harabim (faire bénéficier un grand nombre de la lumière de la Torah)
Merci d’avance !!