Beth Maran Lois de Chavouot
Message du Rav sur la Tragédie de Meirone – Les Birkot HaTorah, l’influence du don de la Torah. Cours du 8 mai 2021
Beth Maran Chavouot
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Beth Maran Lois de Chavouot
Message du Rav sur la Tragédie de Meirone
Les Birkot HaTorah, l’influence du don de la Torah
Rédaction réalisée par le Rav Yoel Hattab – Correction et relecture par Mme Shirel Carceles
Parachat Mishpatim – Chekalim
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Chiour hebdomadaire (8 mai 2021 ) de Maran Harishon Létsion Hagaon Hagadol Rabbénou Itshak Yossef Chlita
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Beth Maran Lois de Chavouot Lois de Chavouot
Message du Rav sur la Tragédie de Meirone – Les Birkot HaTorah, l’influence du don de la Torah
Pour la Refoua Chelema de JOHN JONAS YONA BEN LAURE LOLA
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Cours du Grand Rabbin d’Israël Maran Harav Itshak Yossef Chlita
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La tragédie de Mérone
Après la tragédie de Mérone, lequel d’entre nous peut connaitre la raison de ce malheur. Cette semaine j’ai dû me rendre de maisons d’endeuillés à maisons d’endeuillés, et la première chose que j’ai remarqué, est la Emouna extraordinaire de chacun d’entres eux. C’est à nous qu’ils ont procuré du réconfort ! Nous avons pu remarquer que ceux qui ont laissé leur vie étaient des personnes qui craignaient Hachem, des Tsadikim et des hommes pieux. Encore une fois, nous n’avons aucune connaissance sur les raisons d’une telle tragédie, mais chacun doit se renforcer dans tout, que ce soit sur les Mitsvot qui concernent l’homme envers son ami, ou bien les Mitsvot qui concernent l’homme avec Hachem. Et au-dessus de tout, se renforcer dans l’étude de Torah, car c’est la Torah qui protège et qui sauve. Tout cela sera pour l’élévation de leurs âmes.
Si, après cette tragédie nous n’avançons ni n’évoluons, c’est comme si ces 45 hommes étaient morts en vain…
Chaque Avreh, chaque jeune étudiant de Yeshiva devra prendre sur lui d’arriver à l’heure la journée d’étude. De même pour les Avrehim. De plus, prendre sur soi de ne pas parler durant leur étude de Torah. On ne fera pas de notre Torah des petits morceaux. Les hommes qui travaillent toute la journée, ne se contenteront pas d’un seul cours de Torah, mais chaque moment de libre qu’ils auront, ils devront le sanctifier pour l’étude de Torah. De même les Vendredis et le Chabbat. D’autant plus les chabbat d’été qui sont assez longs. Si nous arrivons ensemble à nous renforcer dans cela, ce sacrifice collectif ne sera pas vain et on pourra mériter la résurrection des morts et la délivrance prochaine.
La Berakha du Gomel
Ceux qui étaient présents lors de cette tragédie et ont été sauvés, lorsqu’ils se rendront de nouveau à cet endroit, diront sans le nom d’Hachem « Barouh cheassa li ness bamakom Hazé ». Pour ce qui est de la Berakha du Gomel, les Sefaradim ne disent pas cette Berakha sur d’autres sauvetages que ceux mentionnés par la Guemara. Mais si, le voyage pour se rendre à Mérone a été d’une distance de plus de 72 minutes, ils diront dans tous les cas la Berakha du Gomel, tout en pensant à ce miracle. Les Ashkenazim, quant à eux, disent la Berakha du Gomel sur tout autre sauvetage. Ainsi, même si leur voyage a été inférieur à 72minutes, ils diront la Berakha du Gomel.
Loulé Toratékha Chaachouay (psaume)
Lorsque je me suis rendu dans les maisons d’endeuillés je leur ai expliqué comment un homme peut faire face à de telles tragédies. Je leur racontai, que lorsque ma mère la Rabbanite est décédée, Maran Harav Zatsal était d’une tristesse dure et les larmes lui coulaient à chaque instant. Nous avions peur de cela, car il avait déjà une maladie aux yeux. On a voulu lui détourner son esprit sur autre chose. Je lui parlai alors de l’interdit de prier pour un Onéne (l’endeuillé avant l’enterrement est dispensé de toutes les Mitsvot. Attention ! Chaque cas sera demandé à un Rav). Voici la question que je lui posai : une personne qui était au milieu de sa Amida et en arrivant au milieu de la bénédiction de Réfaénou, il entend des cris, comprenant qu’un de ses proches était décédé, peut-elle continuer sa Amida ? D’un coup, il oublia tout ! Il se leva me rapporta plusieurs livres relatant du sujet concerné. Il prit le livre Moutsal MiEsh (Siman 21), ainsi que le livre de Rabbi Yehouda Ayash (Orah Haïm Siman 33) qui parle d’un cas semblable. Et bien d’autres livres ! Il s’oublia complétement, et cela lui permit de se sentir mieux ! J’ai ressenti alors le psaume (119 verset 92) : « Si Ta Torah n’avait pas fait mes délices, j’aurais succombé dans ma misère ».
La Torah apporte la condoléance et permet de faire face aux épreuves les plus difficiles. Les gens qui sont assez loin de la Torah, c’est très difficile pour eux, car ceux qui ont la crainte d’Hachem
Les Birkot HaTorah (Beth Maran Chavouot)
Nous pouvons voir selon l’opinion du Rambam et du Choulhan Aroukh, que seul le Birkat HaMazon est de la Torah. Toutes les autres Berakhot sont d’ordre Rabbinique. Voici les textes :
Le Rambam écrit (Berakhot Chap.1, Halakha 1 et 2) :
מצות עשה מן התורה לברך אחר אכילת מזון שנאמר ואכלת ושבעת וברכת את יי‘ אלהיך ואינו חייב מן התורה אלא אם כן שבע שנאמר ואכלת ושבעת וברכת ומדברי סופרים אכל אפילו כזית מברך אחריו.
C’est un commandement positif de la Torah que de bénir Hachem après la consommation de pain, comme il est dit dans le verset Tu mangeras, tu te rassasieras et tu béniras. Selon la Torah, on est tenu de faire le Birkat HaMazon, uniquement si on est rassasié. Mais par ordre Rabbinique, on devra dire le Birkat Hamazon, même après avoir seulement consommé un Kazaït (27g)
Halakha 2
ומדברי סופרים לברך על כל מאכל תחלה ואחר כך יהנה ממנו ואפילו נתכוין לאכול או לשתות כל שהוא מברך ואח« כ יהנה וכו’ וכן מדברי סופרים לברך אחר כל מה שיאכל וכל מה שישתה וכו’
Par ordre Rabbinique, on doit réciter une Berakha avant de profiter de tout aliment. Et ceci, même si on a l’intention de manger ou de boire une quantité quelconque, on doit réciter la Berakha avant d’en profiter etc. De plus, par ordre Rabbinique nous devons faire une Berakha après avoir consommé un aliment ou après avoir bu etc.
On peut donc comprendre du Rambam, que toutes les Berakhot Hanéhénim (Berakha avant consommation), comme « Mezonot », « Adama », « Cheakol » etc. sont d’ordre Rabbinique. De même pour toutes les Berakhot finales.
Le Rambam rajoute (Chap.8 des lois de Berakhot Halakha 12) :
כל הברכות האלו אם נסתפק לו בהם אם בירך או לא בירך אינו חוזר ומברך לא בתחלה ולא בסוף מפני שהן מדברי סופרים וכו’
Concernant toutes ces Berakhot, si on a un doute quant à savoir si on a récité ou non l’une d’entre elles, on ne la répète pas car elles sont d’ordre Rabbinique etc.
D’ailleurs le Choulhan Aroukh (Siman 184 Halakha 4) écrit :
אכל ואינו יודע אם בירך ברכת המזון אם לאו צריך לברך מספק מפני שהיא מן התורה:
Une personne qui a mangé et ne sait pas si elle a dit le Birkat HaMazon, il faudra reprendre, car cette Berakha est de la Torah.
De plus, le Choulhan Aroukh (Siman 209 Halakha 3) écrit :
כל הברכות אם נסתפק אם בירך אם לאו אינו מברך לא בתחלה ולא בסוף חוץ מברכת המזון מפני שהיא של תורה:
Une personne qui a mangé et ne sait pas si elle a dit la Berakha (du début ou bien la Berakha finale) elle ne reprendra pas dans le doute, sauf pour le Birkat Hamazon qui est de la Torah.
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Les Birkot HaTorah – La Mitsva d’étudier la Torah
Avant de répondre à l’interrogation, il est important de comprendre la raison pour laquelle le Rambam s’est positionné de façon assez complexe, de dire que les Birkot HaTorah sont d’ordre Rabbinique alors que la Guemara dit explicitement qu’il s’agit de Berakhot de la Torah. La Guemara dans le traité Berakhot[1] rapporte quatre avis : selon Rav Houna, on doit dire les Birkot HaTorah avant l’étude des versets, en revanche on ne les dira pas avant l’étude du Midrash. Selon Rabbi Elazar, autant sur l’étude des versets que sur le Midrash on doit dire les Birkot HaTorah, mais pas avant une étude de Mishna. Selon Rabbi Yo’hanane, même avant l’étude de Mishna on doit dire ces Berakhot, mais avant l’étude de Guemara on ne les dira pas. Selon ces trois premières opinions, une personne peut étudier le matin le Daf HaYomi, même sans avoir dit encore les Birkot HaTorah. Mais selon Rava, avant toute étude de Torah, même la Guemara, on ne peut étudier sans avoir encore dit les Birkot HaTorah.
Mais il faut comprendre : quelle est la raison des deux premiers avis ? N’est-ce pas que la source de toutes les Halakhot sort de l’étude de la Mishna et de la Guemara ? Comment aurions-nous compris les 39 travaux interdits de Chabbat, sans l’étude de la Torah orale[2] ? Nous n’aurions pas enseigné l’interdit d’appuyer sur un interrupteur le Chabbat sans la Torah orale ! Comment aurions-nous compris le verset nous enseignant le port des Tefilines de la tête : « Vehayou Letotafoth ben Einekha » « …entre tes yeux » ? Nous les aurions positionnés entre les yeux, tout comme les Karaïm, alors que la Torah orale nous enseigne du verset, qu’ils doivent être positionnés sur le front. Comment aurions-nous su les mesures de la Souccah sans la Torah orale ? Pour quelle raison contredisent-ils l’avis de Rava ?
La source : le don de la Torah (Beth Maran Chavouot)
En réalité, on peut comprendre selon la Guemara dans le traité Chabbat[3], nous rapportant l’enseignement de Rav Avdimi bar Hama Bar Hassa, que selon le verset[4] « Et ils s’arrêtèrent au pied de la montagne », qu’Hachem souleva la montagne au-dessus du peuple Juif. Elle devint transparente et le peuple Juif put apercevoir la vision Divine. Hachem leur dit : « si vous acceptez la Torah, très bien. Dans le cas contraire, cet endroit sera votre tombeau ». Fin de citation. Les Tossafot sur place s’interrogent : pour quelle raison Hachem leur demanda s’ils acceptaient la Torah, sous peine de mourir, alors qu’ils avaient déjà accepté en disant d’une seule et unique voix « Naassé Vénishma » ? Il existe plusieurs réponses. Le Midrash Tan’houma[5] explique qu’au début, tout le peuple Juif accepta la Torah telle quelle. Mais lorsqu’arriva le don de la Torah, Hachem leur sortit le Talmud Bavli, Yerouchalmi, les Tshouvot HaGuéhonim, les Tshouvot du Rambam, le Beit Yossef, le Yabi’a Omer etc. Ils se dirent alors qu’au début ils avaient l’intention d’accepter uniquement le livre de la Torah, et non pas la Torah orale. C’est sur cette Torah, qu’Hachem mit la montagne au-dessus du peuple juif, afin qu’ils acceptent. Ils ne connaissaient pas à cette époque l’importance de la Torah.
Forcer la main – Oness
Le Beth Yossef[6] rapporte l’avis du Ohel Moed[7] au nom du Réa[8] le cas d’un homme qui a été forcé de manger, comme par exemple si une personne ne mange rien et d’autres personnes l’ont prise de force, et lui ont mis de la nourriture dans la bouche. La Halakha dit que cette personne ne fait pas de Berakha sur ce qu’ils lui donnent à manger. Tel est aussi l’avis du Rama[9].
Sur ce, le Magen Avraham[10] questionne : la Guemara ne nous apprend-elle pas, dans le traité Rosh Hashana, que si une personne a été forcée à consommer de la Matsa le soir du Seder (comme dans le cas de la personne à qui ils ont donné à manger de force), elle sera quand même quitte de la Mitsva de la consommation de Matsa ? Tel est aussi l’avis du Rambam[11] et du Choulhan Aroukh[12]. Donc, on voit bien que même une consommation forcée (Oness) est considérée comme étant une vraie consommation. Ainsi, comment comprendre le Beth Yossef plus haut ?
Première réponse – L’accomplissement d’une Mitsva
Il existe deux réponses à cette interrogation. Le Mishna Berroura[13] rapporte selon le Rambam[14] au sujet d’une personne qui refuse de donner l’acte du divorce à sa femme[15], le Beth Din doit lui donner des coups[16] jusqu’à que le mari dise « Rotsé Ani » « J’accepte ». Ils écriront l’acte de divorce et elle sera divorcée. Le Rambam questionne : comment est-il possible que l’acte de divorce soit valable alors qu’il doit être donné avec volonté et non pas de force ? Et il répond en disant que si un homme a le Yetser Hara de ne pas accomplir une Mitsva et qu’ensuite des gens le frappent jusqu’à ce qu’il accomplisse la Mitsva qu’il était obligé d’accomplir, il l’aura accomplie, car sa volonté profonde est d’accomplir les ordres de la Torah et d’écouter les paroles de nos Sages. Selon cela, tout devient compréhensible, car la personne qui a été forcée de consommer de la Matsa le soir du Seder, en fin de compte, même si elle ne le souhaitait pas, sa volonté profonde était d’accomplir la Mitsva. C’est pour cela qu’elle sera quitte de la Mitsva, car elle se dit au plus profond d’elle : « si j’ai déjà mangé au moins que je puisse gagner une Mitsva ».
Ce qui n’est pas le cas lorsqu’on donne de force à manger à une personne. Cette consommation n’est pas une Mitsva, et donc « la volonté » n’y est pas. C’est pour cela qu’elle ne dira pas de Berakha dessus.
Seconde réponse – remerciement de force
Le Elia Rabba[17] explique que les Berakhot que nous disons avant de consommer (Birkot Hanéhénim), sont aussi une louange à Hachem, par le fait qu’Il a créé les fruits de l’arbre, les légumes, les céréales etc. Ces Berakhot sont dites, donc ces louanges sont dites lorsque la personne les consomme par sa volonté. Mais la personne ne loue pas lorsqu’on la force à manger.
Pour comprendre, lorsqu’une personne lui donne un cadeau, elle va la remercier. Mais en fin de compte l’ampleur du remerciement est selon aussi « la valeur » du cadeau. Lorsqu’elle lui donne un cadeau très important, le remerciement va être conséquent. Mais s’il s’agit d’un simple stylo, évidemment le remerciement ne sera pas le même.
Et donc, si la personne a été forcée de manger, elle ne dira pas la Berakha, car elle ne profite pas, et elle n’a pas de quoi louer. Ce qui n’est pas le cas pour la consommation de la Matsa, même si elle a été forcée, en fin de compte elle aura accompli une Mitsva.
D’ailleurs, le Mishna Berroura écrit que la Halakha sera différente selon les deux réponses, au sujet d’une personne qui été forcée de manger du pain : doit-elle dire le Birkat Hamazone ? Selon la première réponse que la volonté profonde de chaque juif est d’accomplir les Mitsvot, elle devra alors dire le Birkat Hamazone qui est une Mitsva. Mais selon la seconde réponse (du Elia Rabba), étant une Berakha où on loue Hachem, la personne ne dira pas le Birkat Hamazone.
Il faut savoir, que selon la Halakha on tient que cette personne ne doit pas refaire le Birkat Hamazone, selon le principe de Safek Berakhot Leakel. Comme nous l’avons écrit dans le Yalkout Yossef[18].
Réponse et conclusion (Beth Maran Chavouot)
Pour revenir et répondre à la question que nous avons développée au sujet des Amoraïm dans la Guemara, qui pensent que nous ne disons pas les Birkot HaTorah sur l’étude de la Torah orale, car la Torah orale a été reçue « de force » et ce n’est pas compatible de dire une Berakha et louer Hachem sur quelque chose que nous ne voulions pas. Sur ce, Rava dans le Guemara contredit cet avis et pense que nous disons les Birkot HaTorah même sur la Torah orale, car selon lui, les Birkot HaTorah font partie des Birkot HaMitsvot, sur lesquelles on dit la Berakha même si on l’a reçue de force.
Ainsi, le Rambam et le Choulhan Aroukh tinrent ainsi la Halakha. On comprend donc bien que selon eux, les Birkot HaTorah font partie des Birkot HaMitsvot. Par la même occasion, on comprend aussi, que comme toutes les Birkot HaMitsvot, les Birkot HaTorah sont d’ordre Rabbinique.
Alors que selon le Rambane, les Birkot HaTorah sont des Birkot Hacheva’h et nous disons ces Berakhot car la génération a accepté la Torah orale avec volonté. C’est pour cela que selon cette opinion, les Birkot HaTorah sont de la Torah.
On peut aussi expliquer que la discussion des Amoraïm dans la Guemara (les quatre opinions développées plus haut) se base sur la Guemara du traité Chabbat[19] que selon Rava, le peuple Juif adhéra et accepta avec volonté et amour, la Torah orale à l’époque de A’hachveroch (époque où se déroula l’épisode de Pourim). C’est pour cela, que selon lui, on dit les Birkot HaTorah, même sur l’étude de Guemara (Torah orale). Alors que les autres Amoraïm qui contredisent cet avis, discutent si on suit le début (au Mont Sinaï) ou la fin (époque de Pourim).
[1] 11b
[2] La Mishna et la Guemara
[3] 88a
[4] Chemot 19, 17
[5] Parachat Noa’h Siman 3
[6] Siman 204
[7] Derekh 7 Netiv 7
[8] Début du Chap.3
[9] Halakha 8
[10] Alinéa 20
[11] Chap.6 lois de Hametz OuMatsa Halakha 3
[12] Siman 475 Halakha 4
[13] Chaar Hatsiyoune Siman 204 alinéa 38
[14] Lois du divorce Chap.2 Halakha 20
[15] Comme dans le cas où la femme veut divorcer à cause du fait que son mari a une très mauvaise haleine, et rien n’aide, ni le spray à la menthe, ni même des bonbons. Ou bien que le corps de son mari soit rempli de lèpre (plaque) et aucune crème n’aide, ni la Volvéta ni la Anuga.
[16] Aujourd’hui, si le Beth Din donne des coups, il rentre en prison… C’est pour cela, qu’en contrepartie il utilise d’autres sanctions comme lui retirer son passeport, ou bien en lui fermant son compte bancaire. Si ces sanctions n’aident pas, il a de l’argent au noir, il le rentre en prison. Même si ce genre de situation n’est pas fréquent, car le haut Beth Din essaye de ne pas en arriver à une telle situation, cela existe quand même. En effet, certaines fois l’homme ne veut pas par simple principe donner son acte de divorce à sa femme. 3
[17] Siman 204 alinéa 13
[18] Lois de Berakhot édition 5771 Siman 204 Halakha 14
[19] 88a
Ce cours « Beth Maran Lois de Chavouot Message du Rav sur la Tragédie de Meirone – Les Birkot HaTorah, l’influence du don de la Torah » a été mis en ligne le 14 mai 2021