•Ben Ish Hai Quotidien• 31 décembre 2014
Yehonathan Chaoul Parsy
« … ויהי ימי יעקב שני חייב »
« Et les jours de Yaakov, les années de sa vie furent de… »
On peut se demander dans ce passouk, pourquoi la Torah a cité « les jours » de Yaakov ?
On peut le comprendre à l’aide du passouk dans Mishlei (10:27): « la crainte d’Hashem rajoute des jours, mais les années du rasha’ seront raccourcies ». On voit ici que la vie du Tsadik est appelée « des jours » mais celle du rasha’ « des années ». La raison en est que le Tsadik oeuvre en un jour, dans la Torah et les mitsvot, plus que les autres en un an…
C’est pour ça que la Torah dit: « les jours de Yaakov, les années… » pour nous montrer que chacun de ses jours était considéré comme une année.
(בן איש חי – דרושים – פר’ ויחי)
– On ne répondra pas (à une bracha ou à un kaddish) un Amen ‘hatoufa. C’est-à-dire avant que la bracha soit finie. Ni un Amen ketoufa. C’est-à-dire qu’on ne finit pas de bien prononcer le noun à la fin, ou qu’on le voyellise en disant améné.
– On ne répondra pas non plus un Amen yétoma. C’est-à-dire sans savoir quelle bracha a été dite, ou en sachant laquelle mais sans l’avoir entendue.
(עוד יוסף חי – הלכות – פר’ ויחי – הלכה יח)
Dédié à la réfouah shélémah de Haya Simha bat Jeanette Jamilla, Mézala bat Haya Myriam, Ariella Arlette Myriam bat Mézala, Batshéva bat Elishéva, Avraham ben Soultana Ra’hel et Avner ben Simha.