•Ben Ish Hai Quotidien• 30 janvier 2015
Yehonathan Chaoul Parsy
Ce Dvar Torah est dédié à l’élévation de l’âme de Haya Ra’hel bat Sassya Lisette, ת.נ.צ.ב.ה.
וְהַכְּלָבִים עַזֵּי-נֶפֶשׁ, לֹא יָדְעוּ שָׂבְעָה
Et les chiens, ces effrontés, ne connaissent pas la satiété
On peut voir une allusion à notre Parasha dans ce passouk. Comme on l’a déjà dit, l’avoda zarah de Ba’al Tséfon est la représentante de la klipa (la force du mal) qu’on appelle Klavim – les chiens. Et à la place de lire Sov’a avec un Sine qui est la satiété, lis Shiv’a avec un Shine qui est le chiffre sept. Pour nous dire que Par’o, qui croyait que Ba’al Tséfon avait survécu aux makot grâce à sa force, et son peuple, ce sont eux les chiens qui ne connaissent pas Shiv’a, les événements du septième jour de la sortie d’Egypte. C’est à dire, que Par’o a été aveuglé à cause de son effronterie et avait cru que grâce à la force de Ba’al Tséfon qui représente les chiens, ce fameux septième jour, il dominerait Hashem et son peuple. Mais comme on l’a dit, ça faisait partie du plan divin, pour qu’Hashem leur porte le coup de grâce dans la mer.
(על פי עוד יוסף חי דרשות – פר’ בשלח)
– L’homme autant que la femme a l’obligation d’allumer les lumières de Shabbat, mais comme c’est la femme qui est en charge des tâches ménagères et comme c’est elle qui représente ‘Hava qui a éteint la lumière du monde en faisant fauter son mari, c’est donc à la femme qu’incombe cette mitsva des lumières de Shabbat qui fait descendre tant de lumière spirituelle dans le monde.
– Le mari ne peut donc pas décider que c’est lui qui va allumer, même s’il en est autant obligé que sa femme, et elle a droit de garder ce privilège pour elle (tant qu’elle allume avant l’heure limite). Cependant si le mari a volé cette mitsva à sa femme, il ne devra pas lui payer les 10 pièces d’or qu’habituellement on est en droit d’exiger de celui qui nous a volé une mitsva.
(על פי מקבציאל – שנה ב’ – פר’ נח – הלכות ג-ד)
Dédié à la réfouah shélémah de Haya Simha bat Jeanette Jamilla, Mézala bat Haya Myriam, Ariella Arlette Myriam bat Mézala, Batshéva bat Elishéva, Avraham ben Soultana Ra’hel et Avner ben Simha.