•Ben Ish Hai Quotidien• 27 janvier 2015
Yehonathan Chaoul Parsy
Ce Dvar Torah est dédié à l’élévation de l’âme de Haya Ra’hel bat Sassya Lisette, ת.נ.צ.ב.ה.
וַיֵּהָפֵךְ לְבַב פַּרְעֹה וַעֲבָדָיו, אֶל-הָעָם – Alors le cœur de Pharaon et de ses serviteurs s’inversa à l’égard de ce peuple (littéralement)
Les commentateurs expliquent le passouk: » כָּבֵד לֵב פַּרְעֹה; מֵאֵן, לְשַׁלַּח הָעָם – Le cœur de Pharaon est lourd, il refuse de renvoyer le peuple », en jouant sur le mot Kaved – lourd, qui signifie également le foie. Le cœur est la résidence de la compréhension tandis que le foie est comme une pierre, sans intelligence ni sentiments. Hashem a transformé le cœur de Pharaon en foie pour qu’il ne voit plus clair et ne puisse plus prendre les bonnes décisions. Une fois qu’Il lui a guéri, le jour de la sortie des Béné Israel, son cœur est redevenu normal. Mais sept jours plus tard, Hashem a de nouveau inverse le cœur de Pharaon, c’est-à-dire les lettres Lamed Beth, Lev – le cœur devient Beth-Lamed, Bal dans le sens de Bilboul – confusion ou dans le sens de Balah – il s’est usé.
(על פי עוד יוסף י דרשות – פר’ בשלח)
– Avant de commencer l’Amida, quand on dit la bracha de « Gaal Israel », on doit toucher la téfila de la tête, car elle est de l’Atsilout comme l’Amida. A la fin de l’Amida, au moment de la dernière bracha on la touchera encore après le passouk « Yiyhou lératson… » et pas avant.
– Quand on se tient debout pour l’Amida on doit coller les deux jambes comme pour en faire une seule et bien droite, à l’instar des anges dont il est dit וְרַגְלֵיהֶם, רֶגֶל יְשָׁרָה – Leurs pieds étaient des pieds droits, c’est-à-dire qu’ils n’avaient pas de genoux pour plier leurs jambes.
(על פי בן יש חי הלכות – שנה א’ – פר’ בשלח – הלכות א-ב)
Dédié à la réfouah shélémah de Haya Simha bat Jeanette Jamilla, Mézala bat Haya Myriam, Ariella Arlette Myriam bat Mézala, Batshéva bat Elishéva, Avraham ben Soultana Ra’hel et Avner ben Simha.