•Ben Ish Hai Quotidien• 20 mars 2015
Yehonathan Chaoul Parsy
וְסָמַךְ יָדוֹ, עַל רֹאשׁ הָעֹלָה; וְנִרְצָה לוֹ, לְכַפֵּר עָלָיו
Il appuiera sa main sur la tête du ‘Ola (holocauste) et il lui sera agréée pour le pardonner.
Dans ce passouk on peut voir en rémez (allusion) une précision sur l’idée largement répandue que l’étude de la Torah amène le pardon aux fautes de l’homme. En effet le ‘Ola est aussi une allusion à la Torah qui s’élève constamment sans ne jamais redescendre. Et le terme « Vésamach Yado » veut dire qu’il atteindra son but « Al Rosh Ha’ola » dès le début de son étude de la Torah, c’est celui qui étudie la Torah « Lishma – au nom de la mitsva » et pas pour une motivation extérieure, comme pour devenir sage, rabbin ou n’importe quelle autre raison. Car celui qui étudie pour un but autre n’atteindra ce but que quand les conditions seront requises, tandis que celui qui étudie « lishma », est déjà rendu dès la toute première seconde de son étude. Et c’est le secret de ce passouk, c’est cette étude « lishma » de la Torah qui amène « Léchaper ‘alav » le pardon de ses fautes.
(על פי עוד יוסף חי דרשות – פר’ ויקרא)
– Celui qui doit allumer les nérot de Shabbat dans la chambre ou il dort avec la bracha, veillera à ce que les nérot durent assez longtemps pour qu’il puisse profiter de leur lumière et que sa bracha ne soit pas pour rien.
– Quand plusieurs famille mangent et allument au même endroit, même dans des chandeliers séparés, il faudra qu’une seule personne fasse la bracha sur les nérot. Et à plus forte raison si deux personnes allument plusieurs lumières chacune du même chandelier. Donc, dans ce cas ou plusieurs femmes doivent allumer au même endroit, une fera la bracha et les autres répondront Amen, et si une femme veut allumer après que la bracha ait été dite, elle la dira sans le nom d’Hashem ni Elokeinou.
(על פי מקבציאל – שנה ב’ – פר’ נח – הלכות יז-יח)
Dédié à la réfouah shélémah de ‘Haya Simha bat Jeanette Jamilla, Mézala bat ‘Haya Myriam, Batshéva bat Elishéva, Avraham ben Soultana Ra’hel et Avner ben Sim’ha.
Dédié également à l’élévation de l’âme de Ra’hel bat Mazal, Chaoul ben Nissim, Daniella Fortunée bat Ra’hel, Ra’hel bat Maya, Haya Ra’hel bat Sassya Lisette et Alice Aïcha bat Ra’hma, ת.נ.צ.ב.ה.