•Ben Ish Hai Quotidien• 25 décembre 2014
Yehonathan Chaoul Parsy
« פותח את ידך ומשביע לכל חי רצון »
« Tu ouvres tes mains et Tu rassasies tout vivant avec bienveillance »
Le passouk de « Potéa’h et yadécha… » renferme le secret de la Parnassa qu’Hashem envoie à chaque instant à son peuple. Il est tellement important d’être conscient tout au long de la journée que c’est Hashem qui pourvoit à nos besoins que les ‘Hachamim ont instauré de lire « Ashré » trois fois par jour afin de dire « Potéa’h » trois fois, deux fois dans la prière du matin et un fois dans celle de l’après-midi.
Ce passouk et cette pensée sont tellement importants que celui qui n’a pas pensé à la signification du passouk devra le répéter en y pensant.
Si il n’y a pas pensé ni répété avant « Yshtabach’» il faudra le répéter après la amida.
Si on l’a dit sans y penser et la fin du passouk on veut le répéter pour y penser, il faudra marquer une pause avant, afin de ne pas laisser croire qu’on s’adresse à deux divinités.
(בן איש חי הלכות ויגש שנה א’ הלכה יב’ ועוד יוסף חי הלכות ויגש הלכה ח’)