Ben Ish Haï Quotidien Paracha Ki Tavo du 31 Août 2015 – Yehonathan Chaoul Parsy
Ben Ish Haï Ki Tavo
Ben Ish Haï sur Paracha Ki Tavo
וּנְתָנְךָ יְהוָה לְרֹאשׁ, וְלֹא לְזָנָב, וְהָיִיתָ רַק לְמַעְלָה, וְלֹא תִהְיֶה לְמָטָּה: כִּי-תִשְׁמַע אֶל-מִצְוֹת יְהוָה אֱלֹהֶיךָ, אֲשֶׁר אָנֹכִי מְצַוְּךָ הַיּוֹם–לִשְׁמֹר וְלַעֲשׂוֹת
Hashem te fera tenir le premier rang (la tête), et non point le dernier (la queue); tu seras constamment au faîte (en haut), sans jamais déchoir (en bas), pourvu que tu obéisses aux lois d’Hashem, ton Dieu, que je t’impose en ce jour, en les exécutant ponctuellement. Dévarim 28:13
… Suite de la veille:
On voit aussi cette même allusion dans les mots Ma’alah et Matah, en haut et en bas. Ils ont comme différence de valeur numérique exactement 91 qui est la valeur des deux noms Adnout et Havaya. Donc quand les Béné Israel pratiquent la Torah et les Mitsvot comme il se doit, et entraînent l’union de ces deux noms d’Hashem, qu’on appelle aussi « Koudsha Brich Hou » pour Havaya et « Shchintéh » pour Adnout (ce sont les noms en araméen pour ceux en hébreu d’Hakadosh Barouch Hou et la Shéchinah), il méritent de rajouter au niveau de « Matah – en bas » la valeur des deux noms Havaya et Adnout et atteignent ainsi la valeur de « Ma’alah – en haut ». Et comme on l’a déjà expliqué, en unissant ces deux noms on passe du niveau du Youd d’en bas à celui du Youd d’en haut et de Ya’akov on devient Israel.
C’est la Kavana de la béracha de ce passouk, fasse qu’Hashem nous aide et soit présent près de nous pour nous aider à accomplir sa Torah comme il se doit et de mériter toutes les bénédictions qu’il nous réserve.
Partie Halakhot – Objet Perdu (Hachavat Avéda)
– Si l’on a trouvé un objet perdu qui a un signe distinctif, on se doit de le diffuser à la Synagogue (Note: car c’est le lieu de rassemblement), et on dira la nature de ce qu’on a trouvé et si quelqu’un vient en donner les signes distinctifs on le lui rendra. Mais si on n’a pas donné la nature et que quelqu’un vient déclarer un objet de la même nature, perdu, ce ne sera pas suffisant pour lui rendre, tant qu’il n’aura pas donné de signes distinctifs précis.
– Si on a trouvé un objet qui possède un signe distinctif dans un endroit ou la majorité des passants ne sont pas juifs, il n’est pas nécessaire de le diffuser. Et même si le propriétaire (même juif) vient dire ses signes distinctifs, dans le cas où c’est un objet dont on s’aperçoit de la perte de suite, on n’aura pas besoin de le rendre. Car il s’en sera rendu compte et comme la majorité des passants sont non-juifs, il aura abandonné l’idée de retrouver cet objet.
(על פי בן איש חי הלכות – שנה א’ – פרשת כי תבוא -הקדמה והלכות ג-ד)
Dédicaces
Dédié à la réfouah shélémah de ‘Haya Simha bat Jeanette Jamilla, Mézala bat ‘Haya Myriam, Batshéva bat Elishéva, Avraham ben Soultana Ra’hel, ‘Haya Rivka bat Esther et Avner ben Sim’ha.
Dédié également à l’élévation de l’âme de Ra’hel bat Mazal, Chaoul ben Nissim, Daniella Fortunée bat Ra’hel, Ra’hel bat Maya, Esther Hadassa bat Jeanette Jamilla, Haya Ra’hel bat Sassya Lisette, Alice Aïcha bat Ra’hma et Charles Chalom ben Olga ‘Hanna,
ת.נ.צ.ב.ה
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