Apprendre des Justes – Michaël Marciano
Leiloui Nichmat Moche ben Aicha. Apprendre des justes
Tiré du livre : Kadoch Yaacov:Le Gaon Rabbi Shimon Chkopp écrit que parfois un homme peut arriver à un changement de ses midots par les histoires de Tsadikim, plus que de ce qu’il aurait lu dans un livre de Moussar!
Car l’histoire,le fait,s’attache rapidement dans le cœur de l’homme. Et on voit en réalité que les histoires écrites d’une belle manière nous donnent du hizouk, du renforcement.
Elles ont en eux la faculté d’enthousiasmer grandement celui qui l’entend. D’ailleurs l’Admour de Belz disait qu’il ne faut pas dire que les histoires de Tsadikim sont du bitoul Torah. De même, le Gaon, le Rav de Brisk disait qu’il a éduqué son fils a la crainte de D.ieu par les histoires de Tsadikim. De même, il a été écrit cela sur le Steipler. Le ‘Hazon Ich disait aussi que le bon livre de Moussar est la lecture et l’approfondissement dans des livres qui raconte la vie, les histoires des Tsadikim.
Le Rav Chalom Chvadron raconte que le ‘Hafets ‘Haim avait une lecture quotidienne chaque vendredi ,il parlait une heure avec ses élèves sur le comportement des Grands d’Israël. De même, le Rav Ezra Attia avait aussi ce minhag et il disait a ses élèves « Mon enfant, ne crois pas que c’est du bitoul Torah. C’est de la Torah, et plus grand est le service des maîtres que l’étude ! comme dit la Guemara Brahot . »
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