•Ben Ish Hai Quotidien• 4 janvier 2015
Yehonathan Chaoul Parsy
Pour convaincre les Bénei Israël que Moshé Rabeinou Alav Hashalom est bien le Mashia’h, au cas où ils en douteraient, Hashem lui donne deux signes. Le premier est de transformer le bâton en serpent et de retourner en bâton, tandis que le deuxième est de mettre sa main dans son habit pour la ressortir lépreuse et de la guérir de la même manière. La signification de ces signes est de montrer qu’Hashem est le maître de la Création, qu’il est le seul pouvoir en place qui décide de tout, du mal autant que du bien, de la nuit autant que du jour, du serpent autant que du bâton et de la lèpre autant que de la guérison.
– Au début de la bracha de « Yotser or… » (la première bracha du Shéma, il faut toucher la téfila (singulier de téfilin) du bras. Et ne pas toucher également celle de la tête. Car le Schéma et ses brachot sont dans le monde de la Bériah comme la téfila du bras, tandis que celle de la tête et la ‘Amida sont dans celui de la Atsilout,
– La kedousha du Yotser (depuis Kadosh, Kadosh, Kadosh… jusqu’à Mekomo) doit se dire assis. Si on est debout, il faudra s’assoir pour la dire.
(על פי בן איש חי הלכות – פר’ שמות – הקדמה והלכה א)
Dédié à la réfouah shélémah de Haya Simha bat Jeanette Jamilla, Mézala bat Haya Myriam, Ariella Arlette Myriam bat Mézala, Batshéva bat Elishéva, Avraham ben Soultana Ra’hel et Avner ben Simha.