•Ben Ish Hai Quotidien• 24 décembre 2014
Yehonathan Chaoul Parsy
« הכל לפי רב המעשה »
La mitsva de tsédaka peut se multiplier, il suffit pour cela d’avoir une bourse spéciale où l’on met les pièces qui lui sont destinées. C’est la première mitsva, le prélèvement.
Ensuite on garde cette bourse sur soi en attendant d’avoir besoin de donner,
c’est la deuxième mitsva, le fait d’amener l’argent au nécessiteux.
Et ensuite le don lui même au pauvre ou au responsable de la caisse de tsédaka, c’est la troisième.
Et voilà, on a multiplié une mitsva par trois.
On essaiera de donner la tsédaka (au cours de la téfila au moment de Vayvarekh David ainsi que toute la journée) en partageant la somme en trois tiers. On donne d’abord deux tiers puis on rajoute le dernier. Ça a une portée d’après la Kabala pour adoucir les jugements.
On pensera en donnant le tsédaka au Saint Nom Divin de cette manière: les pièces sont le Youd, la main du donneur le premier Hé, le bras du donneur le Vav et la main du receveur le dernier Hé. On effectue ainsi l’union de toutes les parties des mondes supérieurs.
(בא » ח הלכות ויגש שנה א’ הלכה י »ג)
Dédié à la réfouah shélémah de Haya Simha bat Jeanette Jamilla, Mézala bat Haya Myriam, Ariella Arlette Myriam bat Mézala et Shmouel ben Messaouda.