Destruction. Des pleurs pour des générations – Rav Yoshiahou Yossef Pinto
pleurs pour des générations
Par le mérite de l’étude de ce chapitre, Hachem envoie à Salomé Rahel bat Sarah
Le mérite prochainement de trouver son Zivoug pour fonder un foyer de torah et Mitsvot ou résidera le Shalom et la Bérakha
Qu’elle mérite aussi une grande réussite professionnelle toute sa vie et soit toujours dans le chemin de la torah et des Mitsvot
Qu’elle mérite d’entendre que des bonnes nouvelles Amen.
Extrait du livre Hazon Yoshiahou – Le code de la vie Tome 2 de Rav Yoshiahou Yossef Pinto Shlita (Chapitre 55)
Pour la Réfoua Chéléma du Rav Yoshiahou Yossef Pinto Shlita ben Zahrie.
Pour un Zivoug Yaffé pour Léa bat Dina Routh
Nous vous suggérons d’étudier d’autres articles issus du livre sus-mentionné (du tome 1):
- Chapitre 1 : L’amour inconditionnel
- Chapitre 22 : Les jours entre les oppressions : s’éloigner de la colère
- Chapitre 23 : Les jours entre les oppressions : avec lui je suis en détresse
Nous vous suggérons d’étudier d’autres articles issus du livre sus-mentionné (du tome 2):
- Chapitre 1 : Chacun est dans l’obligation d’influencer et de rapprocher les cœurs
- Chapitre 2 : Efforcez-vous de tous vos moyens, de sorte que Hachem vous soutienne
- Chapitre 3 : Appréciation – où allez vous ?
- Chapitre 4 : Appréciation – une pensée juste avant le passage à l’acte
- Chapitre 5 : Grâce à l’appréciation, la mitsva est réalisée dans la perfection
- Chapitre 22 : Tu aimeras ton prochain comme toi même
- Chapitre 54 : Le mois d’av – le mois où l’on amoindrit la joie
- Chapitre 55 : Destruction. Des pleurs pour des générations
- Chapitre 56 : Souvenir de la destruction du Beth Hamikdach
- Chapitre 76 : Tou Béav la force de la joie
- Chapitre 117 : Juger favorablement – rendre méritant de l’intérieur et faire des remontrances de l’extérieur.
- Chapitre 121 : Le Saint Rabbi Its’hak Louria – Le Ari Hakadoch
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Destruction Des pleurs pour des générations
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Destruction – des pleurs pour des générations
חורבן \ בכייה לדורות
Nos Sages racontent : « Yérmiyahou (le prophète Jérémie) était assis sur les pierres et les planches du Beth Hamikdach. Il gémissait en pleurs.
L’un des sages des nations s’approcha de lui et lui demanda : « vous êtes Yérmiyahou le prophète, et votre nom vous précède. En tant qu’homme sage et avisé, pourquoi pleurez-vous pour des monceaux de pierres et de bois détruits ? »
Yérmiyahou lui répondit : « Ce que nous avons perdu, je ne puis vous l’expliquer, car vous ne le comprendriez pas« , et Yérmiyahou continua à se lamenter ».
Ce même sage se dit qu’un peuple qui pleure tellement sur son passé méritera certainement un grand avenir. Nous continuons à ressentir une profonde amertume pour notre passé, pour notre Maison détruite et c’est là que se trouve notre espérance, selon laquelle notre finalité sera très grande.
On raconte à ce propos qu’un grand homme du peuple d’Israël vit entrer chez lui un Juif qui travaillait pour une grande banque mais qui s’était fait licencier en raison de difficultés financières de cette banque.
Il pleurait et se lamentait : « Pourquoi m’a-t-on renvoyé ?
Quelle est ma faute et quel est mon péché ? ».
Cet homme était très éloigné de la Torah et des commandements. Il n’observait pas le Chabbat et n’appliquait pas les commandements. Il était à mille lieues de toute valeur juive. Lorsqu’il vint raconter son histoire au Rav, le Rav eut un soupir de douleur.
L’un des badauds, qui se trouvait près du Rav vit que ce dernier soupirait, n’en comprit pas la raison. « Il y a tellement de Juifs qui ont des problèmes et qui souffrent, se dit-il. Donc pourquoi le Rav se fait-il du souci ? »
Lorsque l’employé de banque fut reparti, le badaud entra chez le rabbin et lui demanda pourquoi il avait ressenti une si profonde douleur.
Le rabbin lui répondit en disant :
« Je regrette de voir qu’un Juif qui commet tellement de péchés puisse encore se demander pourquoi il a des problèmes. Nous sommes comme lui.
Nous nous lamentons pour la destruction du Beth Hamikdach, mais nous ne comprenons pas l’ampleur de notre perte. »
Et nos Sages déjà disaient :
« Une génération qui n’a pas vécu la reconstruction du Temple, c’est comme s’il avait été détruit de son temps. »
C’est pourquoi nous devons ressentir exactement le sentiment qui a été ressenti au moment de la destruction. La génération qui n’a pas vu sa reconstruction a vu sa destruction. »
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