•Ben Ish Hai Quotidien• 16 mars 2015
Yehonathan Chaoul Parsy
Ce Dvar Torah est dédié à l’élévation de l’âme de Ra’hel bat Maya za’l
…אָדָם כִּי-יַקְרִיב מִכֶּם קָרְבָּן, לַיהוָה
Si quelqu’un d’entre vous veut présenter une offrande à Hashem…
Les ‘Hachamim ont expliqué qu’il est possible de comprendre le Passouk d’un point de vue de l’Avodat Hashem, et il vient nous dire que pour s’approcher d’Hashem c’est un peu de nous qu’il faut être capable de lui offrir. Pour illustrer cet enseignement on peut raconter l’histoire d’un riche qui avait besoin d’un gérant pour un magasin, on lui propose deux employés possibles, tous les deux très qualifiés avec beaucoup d’expérience et toutes les qualités requises. Le premier était employé chez un patron et le deuxième était indépendant. Le riche préféra l’ancien indépendant, et pour quelle raison? Le meilleur des employés ne travaillera jamais comme un indépendant, celui qui est son propre patron est conscient que chaque effort, chaque seconde investie dans son affaire lui rapporte directement des bénéfices, a tel point qu’il ne connait plus ni la faim ni la soif ni le chaud ni le froid. Il est partie intégrante de son travail car il devient toute sa vie. Le meilleur des employés aura toujours à l’esprit que ce n’est pas pour lui qu’il travaille et ne pourra pas se donner plus que de raison.
C’est ce point de vue qu’Hashem attend de l’homme qu’il adopte dans son travail Divin, qu’il prenne exemple sur ses besoins matériels et qu’il se donne à sa spiritualité de la même manière qu’il est prêt à se donner à sa subsistance et son bien-être.
(על פי עוד יוסף חי דרשות – פר’ ויקרא)
– On ne doit pas manger ni boire dans les Batei Haknesset et les Batei Hamidrash, ni s’y promener, ni s’y rhabiller, ni y entrer pour s’abriter de la chaleur ou du froid. Certains s’abstiennent aussi d’y boire ne serait-ce que de l’eau, et c’est mieux d’y faire attention. Sauf quand on y reste longtemps sous la chaleur, alors on pourra permettre d’y boire de l’eau.
– On n’y fait pas non plus de comptes, sauf des comptes de mitsva. Les assemblées pour le bien de la communauté, il sera mieux de la faire en dehors, car il est probable qu’en sortira des discussions non adaptées, de même pour les séoudot mitsva ou on boit de l’alcool. Apprendre l’hébreu y est permis mais pas les autres langues.
(על פי בן איש חי הלכות – שנה א’ – פר’ ויקרא – הלכות ג-ד)
Dédié à la réfouah shélémah de Haya Simha bat Jeanette Jamilla, Mézala bat Haya Myriam, Ariella Arlette Myriam bat Mézala, Batshéva bat Elishéva, Avraham ben Soultana Ra’hel et Avner ben Simha.
Dédié également à l’élévation de l’âme de Haya Ra’hel bat Sassya Lisette, Daniella Fortunée bat Ra’hel et Alice Aïcha bat Ra’hma, ת.נ.צ.ב.ה.