•Ben Ish Hai Quotidien• 7 mars 2015
Yehonathan Chaoul Parsy
…שֵׁשֶׁת יָמִים, תֵּעָשֶׂה מְלָאכָה, וּבַיּוֹם הַשְּׁבִיעִי יִהְיֶה לָכֶם קֹדֶשׁ
Pendant six jours on travaillera, mais au septième jour,sera pour vous une solennité sainte…
Si le passouk prend la peine de nous dire qu’on travaille les six jours de semaine c’est forcement pour nous ordonner de le faire, sinon, il n’était pas besoin de nous l’enseigner. Seulement en hébreu, ce « on travaillera » se dit Té’assé Mélacha, ce qui ne veut pas dire: « tu feras un travail » mais « le travail sera fait ». Et nous découvrons un secret de la Kédousha et de la Bracha de Shabbat, c’est que grâce au respect du Shabbat, l’homme peut mériter de se reposer même pendant les six jours de semaine, et à l’instar des riches qui ne connaissent pas de dur labeur et qui voient leur travail effectué par leurs serviteur.
Ainsi Hashem veut nous récompenser Mida Kénégued Mida, de la même manière que nous nous efforçons d’accomplir comme il se doit la Mitsva de repos du Shabbat, nous méritons que notre labeur soit fait tout seul.
Mais la condition pour ceci, vient dans la suite du Passouk, « le septième jour pour vous sera Kodesh » c’est-à-dire saint. Il ne faut pas que le Shabbat soit un moment de manger-boire-dormir, mais un moment consacré entièrement à Hashem. Et là on peut s’attendre à cette grande récompense.
(על פי בן חי דרשות)
– A propos de la Havdala qu’on fait à la Synagogue. Le Ari za’l avait l’habitude d’offrir quatre pièces d’or pour avoir le mérite d’offrir de son propre vin pour faire dessus la Havdala de la synagogue.
– Le père du Ben Ish Hai ainsi que lui-même plus tard, essayait d’être le ‘Hazan de la prière de Motsaei Shabbat pour pouvoir faire cette mitsva de faire la Havdala pour l’assemblée à la synagogue.
(על פי מקבציאל – פר’ ויצא – שנה ב’ – הלכות יד-טו)
Dédié à la réfouah shélémah de Haya Simha bat Jeanette Jamilla, Mézala bat Haya Myriam, Ariella Arlette Myriam bat Mézala, Batshéva bat Elishéva, Avraham ben Soultana Ra’hel et Avner ben Simha.
Dédié également à l’élévation de l’âme de Haya Ra’hel bat Sassya Lisette, Daniella Fortunée bat Ra’hel et Alice Aïcha bat Ra’hma, ת.נ.צ.ב.ה.